Ma mère, ma grand-mère, mon grand-père, ma tante, mon oncle, l'autre aussi, et les autres ensuite, m'ont rendu heureux... parfois plus encore.
thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?
Ce qui me rend heureux, aujourd'hui... C'est de ne pas savoir ce qui m'attend et que ce sera le meilleur pour moi et ceux que je vais rencontrer quoiqu' il advienne...
Thierry , 47 ans, Arradon (France)
Internet a buggé toute la journée. Le technicien est venu et a diagnostiqué que c’était la faute d’un « perturbateur externe ». Ce perturbateur externe peut aussi bien être un frigo schizophrène d’un voisin, ou encore l’influence électromagnétique de l'éclairage public sournois de la rue d'à côté, en passant par une brosse à dents électrique d’un voisin qui a les dents radio-actives… Bref, ça reste une énigme et le flux est discontinu pour le moment. Ce qui m’a rendu heureux, c’est que j’ai débranché du net, que j’avais moins d’ondes wi-fi qui m’ont traversé le cerveau et que je me suis bien reposé. Finalement, la vie est bien faite !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Quand j'étais minime, j'ai gagné mon premier tournoi de Tennis, j'ai bu du Champagne dans ma première coupe et je suis rentré pompette chez moi, en chantant avec des amis autour du parking. Première victoire et première euphorie !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir le choix et choisir de suivre un chemin qui me convient me facilite les choses pour me sentir heureux et accepter davantage quand je ne le suis pas.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'ai adoré aller à la Bourboule quand j'étais môme. J'y allais avec mes parents, je suivais une cure pour les bronches le matin mais ensuite, je lisais des livres, des bande-dessinées, on se baladait, notamment à la Roche aux Fées, je pensais vraiment qu'il pouvait y en avoir, des fées. Ce n'est que bien plus tard que j'ai vu qu'ils avaient volé ce nom pour le mettre sur des yaourts !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'étais souvent avec ma tante quand j'étais enfant. Sa coupe de cheveux me faisait rire. Elle était speed, un caractère spécial, mais elle aimait bouger avec moi. On marchait ensemble dans tous les marchés, car j'adorais trouver des vieilles bande-dessinées chez les bouquinistes.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Jouer de la basse me rend heureux et en avoir beaucoup joué à une autre époque m'a rendu très heureux.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ecouter la version In your eyes de Peter Gabriel, version 2011 new blood.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Le Strange 37 ! Le Marvel 1 ! Le Fantask 3 ! Le premier Album des Fantastiques : Les inhumains sont parmi nous ! Le documentaire Marvel 14 !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Echanger et ouvrir de nouvelles dimensions ou en retrouver qui étaient oubliées.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Quand les événements ne vont pas dans le sens de ce que je voudrais, ne pas en faire des caisses et me dire : "Ça, c'est ce que je voulais, mais... ce que je vais avoir sera sûrement mieux que ce que j'imaginais, et plus juste... Le vrai bonus est pour bientôt !"
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de pouvoir passer du temps avec la femme que j'aime.
Thierry , 22 ans, Nice (France)Savoir qu'il y a un moment heureux, là, qui n'est pas encore en mots, mais qui est disponible !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Mon métier, ma passion, vivre avec et pour la musique, développer de nouveaux thèmes musicaux, faire des arrangements musicaux dans tous les styles et de surcroît transmettre l'ensemble de ma passion, la musique à tous, jeunes et moins jeunes. Merci à ma femme Elena de trouver chaque jour les mots justes qui me donnent la force de poursuivre mon activité.
Thierry , 30 ans, Bonneuil-sur-Marne (France)L’appel d’un(e) ami(e) que j’attendais, ou que je n’attendais pas.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Aimer sans attendre. Ne pas attendre d’être aimé, ou mieux voir cette délicate illusion, et en sourire plus facilement (et plus rapidement !).
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Manger une multi-compotes de ma composition et découvrir un film.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Certains cadeaux décalés que j'ai fait à ma famille, à ma mère, ma soeur, Michel, rien que d'y penser, ça me fait sourire !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui me rend heureux, c'est de me réveiller, de vivre, manger, partager, suivre le cours des choses et d'aller dormir, pour rêver aussi.
Thierry , 50 ans, Maiduguri (Nigéria)De nombreux dessinateurs de comics m’ont inspiré : Jack Kirby, qui avait un coup de crayon incroyable et qui, en un trait et une courbe, créait un relief et un muscle délirant qui n’existait pas mais qui était reconnu comme un oubli de la nature. John Buscema, qui avait une élégance sans pareil, avec le surfer d’argent, notamment. Neal Adams, avec son trait électrique, pour les Xmen. Revoir très brièvement Stan Lee en vidéo récemment, m’a fait sourire. Un monde créé, issu de l’imaginaire, de la science-fiction et des légendes, qui a créé une empreinte dans le monde entier ! Tout est possible et continue de l'être !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Avant la première expo, j’avais rencontré Pierre Cabanne, décédé depuis, critique d’art, historien et biographe de l’artiste Marcel Duchamp, un des pères de l’art contemporain. Je lui avais parlé de la dynamique du Happython, la vision que j’en avais, de l’intérêt de trouver le choix du regard (allusion à la phrase de Duchamp : « C’est le regardeur qui fait le tableau »), non pas uniquement dans le monde de « dehors » mais aussi dans son monde intérieur. Et aussi de l’aspect viral de la dynamique, la possibilité des futurs Agents du Bonheur, des conséquences multidimensionnelles au niveau du collectif. Après m’avoir entendu, il me confia : « Ce que vous dites aurait sûrement intéressé Marcel Duchamp ! ». Le fait que ce monsieur se rende disponible pour m’écouter et que, selon lui, « Le » Marcel aurait apprécié, m’a encouragé. Il m’a conseillé de m’engager en mon nom dans cette dynamique, de garder la dimension universelle mais d’en prendre la responsabilité d’artiste. Il est venu à mon premier vernissage au Salon Le Corbusier et m’a encore suivi quelques temps, puis il est parti. Heureuse rencontre !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Savoir faire du vélo et en avoir un à moi m'a bien rendu heureux (un mini-vélo Nicoletta bleu !)
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Me poser un moment, tranquille, et faire monter des moments heureux, une récréation, une re-création festive. Retrouver cette présence et le rappel que ma volonté peut aller à la pêche des expériences existantes ou reconnues qui me plaisent.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de voir enfin des photos de mes amis prises il y a 4 mois !
Thierry , 21 ans, Bordeaux (France)Méditer sur les moments heureux, les yeux ouverts en avançant dans la vie de tous les jours, laisser monter ces moments, les discerner, les sentir, savoir que c’est possible, que c’est là, que la sensation a toujours été là, que le choix a toujours été là… Exposer ça, comme un rappel de présence possible est un heureux instant partagé...
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Rien que de me poser cette question : "Qu’est-ce qui me rend, ou m'a rendu, heureux ?", ça m'invite à être heureux ! Comme un rappel que j'ai le choix d'activer où je pourrai bien mettre mon attention... Un rappel que je peux éprouver les pensées et émotions que je préfère, pas uniquement celles qui dérivent aléatoirement... Me donner le choix de répondre à cette question, puis, si j'en ai envie de trouver une réponse, me fait jaillir quelque chose de simple, un sentiment de possible, de quelque chose que j'ai bel et bien vécu, quand je l'oublie... Et ça revient ! Ça s'en va et ça revient... !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Sourire en me rendant compte que je n’ai vécu que des moments uniques avec de nombreuses personnes, que je n’avais jamais vécus avant, et que je ne vivrai plus jamais, mais que de nombreux autres moments uniques sont à vivre, avec ces mêmes personnes, ou d’autres, que je ne peux même pas m’imaginer encore.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de partager des moments vrais, intimes, délicieux, toniques et... simples !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
En 2003, il y avait pas mal d’Agents du Bonheur qui posaient cette heureuse question dans le monde, grâce à Internet. Pour l’expo de Lille 2004, capitale européenne de la culture, on avait proposé des réunions d’Agents du Bonheur et chaque mois, des habitants de la ville de Mons-en-Barœul et alentours, venaient pour témoigner et aussi pour apprendre à faire témoigner leurs voisins et collègues. Voyant les expériences que vivaient les gens dans cette nouvelle activité, nous avons décidé de créer un petit film reprenant toutes ces situations, parfois insolites, d’où la réalisation du film : « Comment devenir un incroyable Agent du Bonheur ? ». C’était une heureuse décision créative qui a grandement facilité les choses !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Me rappeler des différences qu’il y a entre nous tous, et me souvenir aussi des points communs : on est tous né, on fait ce qu’on peut pour éviter de souffrir et pour être heureux, et on va tous repartir d’où on est venu… Ça crée... de sacrées ressemblances, heureusement !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir reçu un jeu de bataille navale électronique à Noël quand j’étais petit et n’avoir jamais perdu, même contre des adultes, jusqu’au moment où, avec mon cousin, on a voulu la démonter et... je n’ai plus jamais pu y rejouer ! Période enfantine de bataille gagnante !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Je suis heureux car le hasard à voulu que depuis un an nous nous connaissons sans même nous être vu, que l'on discute sans même ouvrir la bouche, et pourtant l'on a appris à se connaître, se respecter, s'apprécier. Je suis heureux car ce même hasard a fait croiser nos chemins. Je suis heureux car depuis une semaine je ne peux plus m'éveiller, agir, respirer, sans plus penser à elle. Je suis heureux bien que je ne sais pas si j'ai raison de vivre, de respirer. Je suis heureux car j'ai une raison de vivre, et ferais tout pour la rendre heureuse. Je suis heureux de penser qu'un jour cet oiseau mythique renaîtra de ses cendres pour moi. Je suis heureux tout simplement parce que je l'aime.
Thierry , 32 ans, Paris (France)Chercher le bonheur, arrêter de le chercher... Me souvenir des moments heureux, les oublier... Lâcher-prise, laisser venir... Ne rien faire, tout mettre en place pour ça... Etre ouvert, suivre le flux, accepter…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de prendre conscience de mon rythme et d'aller vers un autre, qui me convient encore mieux !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
La mère d'un ami, qui à plus de 90 ans, toujours tonique, a dit à sa famille : "Oh ce soir, je suis vraiment fatiguée, je vais me coucher tôt !" Et elle est partie comme ça, pendant son sommeil. La famille a bien sûr regretté son départ, mais en a gardé une sensation sereine.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui me rend heureux, c'est l'inspiration, partager ça avec d'autres, transmettre et recevoir aussi.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de savoir que je suis aimé par Dieu en toutes circonstances.
Thierry , 47 ans, Arradon (France)Quand je passe l’aspirateur, je ne peux pas dire que je kiffe à fond, en revanche, quand c’est aspiré et l’aspirateur rangé, j’ai l’impression de : « Ça, c’est fait ! ».
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Tout ce qui ne m’est pas arrivé depuis que je suis né, ce à quoi j’ai échappé sans le savoir, et qui aurait pu me rendre profondément malheureux, et que je ne saurai jamais. Ouf ! La vie est bien faite !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J’avais été invité pour faire une conférence du Happython à la Croix-Rouge pour des infirmières qui terminaient leur cursus. Après avoir visionné quelques films, avoir parlé de l’historique de la dynamique, échangé des points de vue, des questions et des réponses, elles avaient pour mission d’être Agents du bonheur le reste de la journée, et d’obtenir, par groupe de deux, des messages heureux sur le marché de la ville. C’était le dernier cours de leur cursus, un clin d’œil sur le bonheur et le sens, et elles ont récupéré de nombreux témoignages heureux bien plus facilement qu’elles ne l’imaginaient au départ ! Bon départ pour le job !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'ai bossé récemment avec quelqu'un pour faciliter la réalisation de son projet personnel et ce qui m'a plu, c'est cette phrase qui m'est revenue à l'esprit : "On enseigne le mieux ce qu'on a besoin d'apprendre"... La vie est un joli reflet en spirale...
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Mieux voir que lorsque j’interprète les choses, ça ne me sert pas forcément.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Être content qu’on soit vendredi, pas spécialement parce que demain on sera le week-end.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui m'a rendu très heureux, ça a été mon premier baiser, avec Yannick, dans un local de tennis... J'étais pré-ado, elle avait 3 ans de plus que moi et j'avais eu un vertige profond... J'étais stupéfait qu'on pouvait ressentir et partager une telle sensation. Un nouveau monde s'ouvrait à moi !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Mieux sentir la différence entre ce que je veux avec insistance, pour combler un vide avide, et suivre mon élan, volontairement.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
J’avais fait une expo au Salon Le Corbusier, à Paris, et auparavant, j’avais mis des formulaires du Happython, dans la boîte aux lettres des étudiants qui habitaient dans le bâtiment. Le jour du vernissage, un étudiant vient me voir et me dit : « Vous savez, quand j’ai lu votre question sur ce qui me rendait heureux, je n’ai pas trouvé tout de suite de réponse, en vérité, j’ai même mis 4 jours pour trouver une réponse qui me convenait ! J’étais content de la trouver, mais… Je ne m’en rappelle plus ! ».
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Voir le pouvoir des mots, ce qu’ils évoquent, les sensations qu’ils procurent.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir travaillé sur les futurs formulaires de l’Agent Dépoussiérant et du Liquidator, savoir qu’ils seront bientôt accessibles au public dans le Happython ! Après l’éveil des moments heureux, le dépoussiérage !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir une plante grimpante chez moi, mais qui se répand en tombant par terre dans le salon, comme une jungle civilisée.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)A la première expo du Happython in situ, à la Poste de Pantin-les-Limites (véridique : joli nom !), entre Bobigny et Pantin, en octobre 1998, l’effet que donnaient les témoignages épinglés sur des fils à linge au dessus des guichets, et les posters, étaient vraiment drôles. Les clients avaient les yeux en l’air, étaient étonnés ou souriaient et semblaient plus paisibles. Les emploi-jeunes, à l’époque, avaient été supervisés pour, quand ils en avaient la possibilité, poser l’heureuse question, à celles et ceux qui faisaient la queue. A la fin de l’expérience qui a duré 15 jours, le responsable nous a dit qu’il avait perçu moins d’agressivité pendant cette période et nous a remerciés. Premier effet collectif du Happython !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Alors que j'ai créé le Happython en 1998, ce sont les premières fois où j'explore réellement ce que ça fait que de pratiquer "les réponses heureuses" régulièrement (et au niveau personnel). Me détacher de l'aspect créatif pour me retrouver "effet" de cet heureux système me fait bien plaisir.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'ai aimé faire du frizbee à cette saison particulière, vers 20 ans, avec mes potes de l'époque : Jean-Claude, Philippe, Gilles, j'aimais bien faire des transpositions entre le frizbee et les mouvements dans la vie, l'intention qu'on a d'envoyer nos pensées dans l'air et de les voir rebondir, sursauter, danser, revenir parfois.
thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de faire passer ce que j'aime et de me rappeler, via le regard de l'autre, qu'en fait, j'aime ça plus que je n'imagine.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand ()
Quand cette idée d’Agents du Bonheur (des personnes donc, qui allaient choisir de poser cette question à travers le monde) a surgi, j’étais un peu sceptique sur l’impact que cela pouvait avoir sur le réseau internet, c’était en 2002. Dans les jours qui ont suivi, une quarantaine d’internautes se sont inscrits et notamment un enfant de 5 ans, sa maman et une personne de Douala, au Cameroun. Je me suis dit que c’était bon signe ! L’avenir était d’accord également puisqu’il y a eu plus de 3 000 inscriptions depuis. Merci à ceux et celles qui se sont amusés (un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout !) à propager ce Virus du Bonheur un peu partout dans le monde, même sans s’être inscrits directement sur le Happython !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Là, je me sens tranquillement à ma place, dans un élan qui est plutôt cool et stable. La constance, échanger et réaliser me rend heureux.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Mon premier concert de rock blues : Bill Deraime, avec mes potes, Marc, Claude, Mihran, Denis !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Je me rappelle ce moment, pour l’été 1998, peu après la Coupe du Monde de foot (moment collectif explosif en passant), où pour ma première exposition qui devait avoir lieu en novembre, je me demandais : « Mais sur quel genre de trucs je pourrais mettre les témoignages heureux que j’ai reçus ? »… J’ai dessiné des structures, en ai parlé avec une personne qui connaissait les travaux sur métaux, j’ai fait faire un devis, mais je me rendais bien compte que quelque chose clochait. Ça sonnait pas juste ! Alors, j’ai vu ma mère, mettre du linge sur un sèchoirs-à-linge, un tancarville, et soudain, c’était évident : un Porte-Bonheurs !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce que je ne vois pas, mais qui prend soin de moi sans que je le sache.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)La première version du site internet sur le Happython est sorti le 12 septembre 2001. C’était une date qu’on avait choisie une ou deux semaines auparavant. Effectivement, le 12 septembre, c’était le lendemain du 11, et propager un Virus du Bonheur sur Internet ce jour-là pouvait sembler décalé. Nous avons mis ce texte en intro, qui était déjà publié en posters pour des expos précédentes : « Je dédie tout le travail effectué et à faire, à tous ceux qu’on a aimés, qui sont passés de l’autre côté, et à tous les moments heureux qu’il nous reste à créer, avant de les retrouver... ou pas ».
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J’avais joué contre mon prof de tennis en final d’un tournoi quand j’étais cadet, et j’ai gagné. Et j’ai joué avec lui en finale en double et on a perdu. J’aimais bien ces ambiances de compétition internes, ça donnait l’impression que tout cela était très sérieux !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir redessiné les personnages du Happython, conceptualiser les décors.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir oublié mon égoisme et enfin partager et donner aux personnes qui le méritent me rend heureux.
Thierry , 50 ans, Paris (France)Alors que j’étais invité chez des amis dans le nord de la France où avait déjà eu lieu des expos, ces personnes qui m’avait convié à leur repas avait aussi invité leur fille, une adolescente qui suivait sa scolarité dans une école dans le sud de le France. On me pose quelques questions sur le Happython, et elle me dit, surprise : « C’est vous qui avez créé le Happython ? », je lui réponds oui. Et elle me raconte qu’elle avait connu le Happython, après avoir vu le nom du site, gravé sur une table de son école, avec une flèche qui disait : « Allez sur ce site ! ». C’était rebelle, mais ça m’a bien fait rire ! Sûrement des Agents du Bonheur primitifs !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui m'a rendu heureux, ce fut de découvrir que s'était créée une bourse qui allait enfin pouvoir annoncer des nouvelles plus importantes que ces indices dont on nous abreuvent tous les jours.
Thierry , 38 ans, Suresnes (France)J'ai aimé aller à Tunis, à l'époque où mes grands-parents étaient en vie. Je me rappelle du chameau qui tournait dans le café, les palmiers, les odeurs, le jasmin, les glaçons géants (ils n'avaient pas de frigo), les marchés... la plage... !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui m'a rendu heureux, c'est quand elle m'a dit je t'aime pour la première fois.
Thierry , 22 ans, Nice (France)Quand je faisais la collection des Strange, Marvel, Fantask, je connaissais les dessinateurs, les encreurs, par coeur, je les copiais toute la journée, je faisais des listes régulières pour n'en oublier aucun. Récemment, en y repensant j'en ai fait une, je n'en ai retrouvé que 55 (et il m'a fallut quelques temps !). Je la laisse dans un coin, s'il m'en revient, je les rajouterai... Les voici pour l'occasion, Big Up : Neal adams, jack Kirby, John Buscema, Sal Buscema, Bill Everett, Gene colan, George Tuska, Steve ditko, Gil kane, Joe Sinnot, Ernie Chua, Rich buckler, Frank Giacoia, Don heck, Jim starlin, Jim steranko, Jim mooney, John romita, John Byrne, John Romita Jr, Val mayerik, Barry smith, Syd shores, Mike ploog, Frank miller, Billy graham, Howard chaykin, Carmine infantino, Dick ayers, Tom palmer, Dick giordano, Werner roth, Frank robbins, Franck springer, Al milgrom, Herb trimp, Marie severin, Bruce berry, Dan green, John severin, Wally wood, Larry lieber, Mike Esposito, Ross Andru, Dick Giordano, Jack sparling, Sam rosen, Mike esposito, Ross Andru, Lee elias, Dan adkins, Dave cockrum, Bob Mac Leod, Chic stone, Bill sienkiewicz... A suivre...
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est d'apprécier, d'oublier parfois, certes, mais l'envie de retrouver cette aptitude un peu plus à chaque fois.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Je suis heureux chaque fois que j'établis avec une personne une relation sincère et partagée d'amitié, de fraternité ou d'amour.
Thierry , 54 ans, Taluyers (France)Quand j’avais à peu près 20 ans, alors que je n’avais fait qu’une semaine de ski en tout et pour tout, des amis m’ont proposé de descendre les fameuses « 3 vallées » à Courchevel. Je n’avais aucune notion de ce que ça signifiait. Quand je suis arrivé en haut et que j’ai vu des ravins énormes et des pentes abruptes, j’ai vraiment flippé. J’ai dépassé ce flippe, grâce au moniteur qui a compris que j’étais pas une flèche, et ensuite, oubliant ma peur glacée, je me suis amusé à descendre tous ces kilomètres de science-fiction avec euphorie et gaieté suprême, sous le soleil.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Après avoir pensé que mon disque dur avait rendu l’âme, m’être fait aider pour trouver la panne, et avoir déniché un câble USB (qui a rempli sa fonction de câble USB) et a permis une fausse résurrection (puisque le disque n’était pas mort).
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui m'a rendu heureux aujourd'hui, c'est que rien ne s'est passé comme je l'escomptais, mais finalement, ça finit bien autour d'une paëlla !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Le premier film de cinéma que j'ai vu, c'était au Grand Rex, pour voir Aladin et la lampe merveilleuse, un dessin-animé. Le plafond était étoilé, en regardant ce ciel, j'avais l'impression d'un mystère que je pouvais sonder !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Ce qui me rend heureux : savoir que mes proches et amis sont en bonne santé.
Thierry , 31 ans, Royat (France)Ce qui me rend heureux, c'est un peu de beau temps, une petite pause café avec quelqu’un.
Thierry , 27 ans, Montpellier (France)
témoigne