Voir récemment Stan Lee, le créateur des super héros Marvel, à 86 ans, sur des vidéos, parler comme un ado, passionnément de ses projets du futur, m’a fait sourire... Vivre son élan, le réaliser, se réaliser, le partager, ça rend vraiment vivant !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?
Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir travaillé toute la journée sur le Happython et de ne pas avoir vu le temps passer.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Les plus jeunes interviewés qui ont répondu à la question du Happython avaient 2 ans (il a spontanément exprimé son message heureux : « Ma maman ! »), et le deuxième, 3 ans, (il a ouvert son visage et nous a donné un : « Ma trottinette ! »). La plus âgée avait 108 ans, elle a chanté devant la caméra, et nous a dit qu’elle aimait les carnavals, où elle continuait d’aller !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Des séries récentes m’ont donné beaucoup de plaisir : Homeland, Boss, Louie, Boardwalk Empire, Treme,…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Être présent à chacune des tâches d'un projet qui me tient à coeur me rend heureux.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Alors que nous terminions la grande expo de Lille 2004, il fallait passer au démontage de l’installation, c’est-à-dire plus de 120 séchoirs à linge, témoignages, des posters, des bouts de tout et de n’importe quoi, pour laisser la salle la plus clean possible. Tout se déroulait comme un charme, les consignes étaient clairement comprises et les savoir-faire facilement transmis. Tout le monde s’affairait comme des fourmis, efficacement, et dans un temps record. Voyant cette performance, un ami entrepreneur, habitué à travailler dans de grands chantiers avec de nombreuses personnes sous ses ordres, était étonné de voir la vitesse avec laquelle ces dizaines de personnes intégraient les instructions. Il n’avait jamais vu ça auprès de professionnels et était réellement surpris d’observer ça chez des amateurs. Alors qu’il m’en parlait, j’en prenais conscience et je souriais en moi-même. J’avais toujours eu conscience que les visions partagées permettaient des interactions intuitives. Décider de porter son attention sur ses moments heureux, partager ça et mettre en valeur cette aptitude semblait trouver une adhésion cohérente dans le collectif.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Mieux observer en moi-même les critiques que j’imaginais uniquement être chez certains autres, ça crée des affinités !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ressentir, respirer, sourire dehors, en dedans, laisser venir les mémoires, mieux comprendre, pardonner en ayant compris, lâcher-prise et suivre son élan.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'apprécie de rencontrer de nouvelles personnes et de saisir leur authenticité.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Je devais avoir moins de 5 ans, j'étais chez mes grands-parents, malade, et je m'ennuyais profondément. Je voulais sortir dans le petit jardin car il neigeait mais ma grand-mère ne le voulait pas, certainement pour que ma température ne monte pas davantage. Je faisais la tête. Ma grand-mère s'occupait de la maison, elle rangeait, nettoyait. A un moment, elle sort, me laisse seul un certain temps et revient, une bassine à la main, qu'elle dépose devant moi. Je vois alors une bassine remplie de neige. Elle avait mis de la neige dans sa bassine pour que je puisse m'amuser quand même et elle retourna à ses affaires, sans rien dire. A ce moment, je me suis dit : "C'est drôle qu'un adulte pense à ça, puisse se mettre à ma place et savoir que j'en avais envie, je suis certain que je me rappelerai de ça plus tard, quand je serai grand !". J'étais à la fois dans la joie de l'enfant et dans un dédoublement futur, me racontant déjà mon passé.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui m'a rendu heureux, c'est de me rendre compte qu'il y avait d'innombrables moyens pour mieux se connaître. Et aussi que la vie nous donnait des opportunités pour nous éveiller (chacun à son rythme et selon son style), de ce sommeil confortablement partagé, mais insatisfaisant.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce que je ne vois pas, mais qui prend soin de moi sans que je le sache.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Les phases de certitude dans la vie, selon les âges, et les regards et les sourires profonds, à tous les âges…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Quand je faisais du tennis, en minime, j'ai vu un match entre Borg et Deblicker à Roland Garros ! J'aimais vraiment ce champion parce qu'il était zen, le fameux ice-borg, fond de court permanent, pas de montée à la volée, métronome...
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Faire confiance en la vie, faire équipe avec elle, intime… in-team…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Alors que j’étais interviewé par un journaliste, celui-ci me demande : « Quel est le moment heureux qui vous revient dans le Happython ? ». Je lui parle de cet Agent du bonheur de Vaulx-en-Velin, qui nous avait dit : « C’est drôle, aujourd’hui, j’ai eu 34 témoignages heureux. Et en fin de journée, j’étais surpris de voir que les gens que je croisais me souriaient. Je me suis alors demandé s’ils me souriaient parce que je leur avais déjà posé la question ou si, simplement, en posant la question aux autres, on rayonne du bonheur ? ». J’étais alors avec d’autres Agents du bonheur (une équipe qui avait travaillé avec moi sur le projet de Jeumont), et entendant ce récit, deux d’entre eux me disent : « Moi aussi ! C’est exactement ça ! Des gens m’ont demandé d’où je tenais cette banane ! ».
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est quand il y a ma famille, mes copines, mon neveu et ma nièce.
Thierry , 12 ans, Loches (France)Un jour, nous avons reçu un courrier papier (oui, comme à la vieille époque) d’une personne anonyme (un Agent du bonheur postal ?), qui avait noté cette citation empruntée à un auteur (tout aussi anonyme), pour valider la dynamique du Happython. La voici : " Je veux être absolument heureux, ne jamais souffrir, ne manquer de rien et placer l'univers entier dans le même état. Je veux voir s'accomplir maintenant et pour toujours le bonheur suprême de l'humanité entière, sans aucune peine ni effort pénible. Je veux le bonheur total de tout ce qui est conscient dans l'univers visible ou invisible. Je veux l'éradication de toute peine, de tout souci, pour tout et toute créature née et à naître. Tout cela, je le veux de toutes mes forces, de tout mon esprit, de tout mon corps. Je veux que cela s'accomplisse sans limitation dans le temps ni dans l'espace. Je veux avoir la totale conscience de ce bonheur partagé par tous et toutes, sans aucune entrave. Je ne veux le sacrifice de personne, pas même de moi-même. Je veux que cette idée s'impose partout très rapidement. Je veux voir toutes les forces du monde se mobiliser dans ce sens, sans effort. Je veux enfin que cet objectif ne me quitte plus jamais et tout mettre en œuvre pour ne jamais être tenté de me défaire de cet objectif sublime. Je veux que cet accomplissement ne me coûte aucune douleur et qu'il n'en coûte à personne ".
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Le bonheur de faire silence quelques instants, car le silence est un prélude aux rires des enfants, ainsi que le spectre dans lequel se cachent toutes les musiques de quels pays que se soit.
Thierry , 40 ans, Luxembourg (Luxembourg)Ce qui m'a rendu heureux, c'est quand elle m'a dit je t'aime pour la première fois.
Thierry , 22 ans, Nice (France)Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir reçu un message qui est la preuve d'un pardon accordé par un ami... peut-être retrouvé...
Thierry , 47 ans, Arradon (France)Me rappeler des différences qu’il y a entre nous tous, et me souvenir aussi des points communs : on est tous né, on fait ce qu’on peut pour éviter de souffrir et pour être heureux, et on va tous repartir d’où on est venu… Ça crée... de sacrées ressemblances, heureusement !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Alors que j’étais invité chez des amis dans le nord de la France où avait déjà eu lieu des expos, ces personnes qui m’avait convié à leur repas avait aussi invité leur fille, une adolescente qui suivait sa scolarité dans une école dans le sud de le France. On me pose quelques questions sur le Happython, et elle me dit, surprise : « C’est vous qui avez créé le Happython ? », je lui réponds oui. Et elle me raconte qu’elle avait connu le Happython, après avoir vu le nom du site, gravé sur une table de son école, avec une flèche qui disait : « Allez sur ce site ! ». C’était rebelle, mais ça m’a bien fait rire ! Sûrement des Agents du Bonheur primitifs !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est d'être présent et de mieux voir les dérapages incontrôlés quand mon mental grille des feux rouges.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Alors que je mettais mes témoignages heureux sur le site du Happython, je vois arriver ceux d’une amie de… presque 40 ans, en direct, d’Espagne, qui parle de ses moments heureux. Notamment, en CM1, où on avait eu pour mission de donner des buvards et des protège-cahiers à nos camarades de classe !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J’ai aimé écrire un bouquin qui n’est pas encore paru, mais que je mettrai sûrement en ligne un jour, qui s’appelle : « Vous êtes l’artiste de votre vie, même le lundi matin quand il pleut ». C’était un bon challenge de m’organiser pour exprimer ce que je ressentais et de rendre ça drôle à chaque page.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de voir le design de la nouvelle Palette de Vie du formulaire du Happython... Voir progresser le Happython au niveau technique et design est un bonheur ! Holly gratitude à Ben !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir mangé des pates bolognaises !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir joué aux Lego et avoir construit des structures dans lesquelles justement, une partie de mon ego, enjoué, imaginait être un architecte-maçon. Couleurs, gadgets, plans, projets, emboités, monter, débloquer, tenter, démonter…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Sentir le soleil et quand je ne le vois pas, me le rappeler en dedans, et accepter plus facilement le gris, le froid, ou le reste.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)La première version du site internet sur le Happython est sorti le 12 septembre 2001. C’était une date qu’on avait choisie une ou deux semaines auparavant. Effectivement, le 12 septembre, c’était le lendemain du 11, et propager un Virus du Bonheur sur Internet ce jour-là pouvait sembler décalé. Nous avons mis ce texte en intro, qui était déjà publié en posters pour des expos précédentes : « Je dédie tout le travail effectué et à faire, à tous ceux qu’on a aimés, qui sont passés de l’autre côté, et à tous les moments heureux qu’il nous reste à créer, avant de les retrouver... ou pas ».
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, ce sont mes enfants. C'est avec eux que j'ai mes plus grandes joies, et je vis pour eux et par eux...
Thierry , 35 ans, Rouen (France)Ce qui me rend heureux, c'est de savoir que les épreuves se terminent toujours et nous permettent de grandir.
Thierry , 47 ans, Arradon (France)Jeudi, je déjeune avec ma fille de 4 ans et ses copines à la cantine de son école !
Thierry , 38 ans, Suresnes (France)Quand j'étais minime, j'ai gagné mon premier tournoi de Tennis, j'ai bu du Champagne dans ma première coupe et je suis rentré pompette chez moi, en chantant avec des amis autour du parking. Première victoire et première euphorie !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est ce petit bout de chou de deux mois et demi dont la maman m'a demandé d'être le parrain.
Thierry , 31 ans, Paris (France)Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir fait tout ce que j'avais à faire avant de faire ce qu'il me reste à faire. J'aime bien respirer entre chaque action et voir le présent entre le passé et le futur, ça me détend et le monde se remet à briller !
Thierry , 39 ans, Noisy-Le-Grand (France)Quand j’avais vu le film « Voyage au centre de la terre », un dimanche après-midi, à la télé, étant tout jeune.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui m'a rendu heureux, en proposant ce projet, c'est de voir que ça prend et que le virus se répand.
Thierry , 38 ans, Paris (France)Au départ, j’étais le seul à poser la question heureuse du Happython (normal !). Voyant l’effet qu’elle procurait chez les autres (un heureux effet, donc), j’ai demandé à d’autres de la poser autour d’eux, afin de voir quelle expérience ils vivaient de leur côté. Ils m’ont confié alors qu’ils observaient le même effet que moi : un espace pétillant, léger et souriant, et l’envie de continuer à le faire ! C’était facile, avec quelques consignes de bon sens. Les «Agents du Bonheur» étaient nés et c’était le départ du Virus du Bonheur. Il n’y avait qu’une ou deux centaines de témoignages heureux à cette époque et pas encore de Happython sur internet, juste des fax, des lettres, des post-it…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Quand j’étais gosse, mes grands-parents m’avaient offert une tortue, elle s’appelait Fortuné. En la voyant manger de la salade, je m’imaginai minuscule, à voir enfin un dinosaure pour de vrai.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Avoir redessiné les personnages du Happython, conceptualiser les décors.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Me poser un moment, tranquille, et faire monter des moments heureux, une récréation, une re-création festive. Retrouver cette présence et le rappel que ma volonté peut aller à la pêche des expériences existantes ou reconnues qui me plaisent.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Merci à la vie de me permettre d'être en contact avec les autres. Lorsque j'exerce ma profession d'infirmier, je me sens en harmonie avec ce bonheur que m'apportent ces gens, par leurs sourires ou leurs gestes de reconnaissance, et cela dans la simplicité et l'humilité. Un grand merci à eux et à la vie.
Thierry , 28 ans, Paris (France)J'avais une nourrice quand j'étais gosse. Un jour dans le balcon du HLM où elle habitait, j'ai trouvé une bande-dessinée, Strange numéro 8 dans un carton. Ça a été comme un choc ! Il y avait les Xmen, Iron Man, le Surfer d'Argent... Quand j'ai vu ces personnages mutants, fantastiques, héroïques, maintenant très connus, mais à l'époque, totalement inconnus en France, j'ai senti une affinité que je n'avais jamais rencontrée... Quelques années plus tard, j'étais avec ma tante, on se baladait et dans un kiosque à journaux, j'ai vu le Strange 28 ! A ce moment-là, j'avais le sentiment d'avoir trouvé quelque chose d'essentiel dont j'allais suivre la trace pendant des années. Et je passais dans un autre monde, en lisant, déchiffrant, me délectant, anticipant, transposant ce que je découvrais sur ces feuilles colorées, dans le monde dit réel des adultes, décidément tous mutants.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Enfant, un jour, dans un marché, un mercredi matin, au Vieux-Pays à Aulnay sous-Bois avec ma tante, j’ai découvert l’album Fantask numéro 2, avec les numéros 4, 5, 6 et 7. Il n’y a seulement que 7 numéros de cette BD, démarrée 1969. Je n’y croyais pas ! Je suis revenu chez moi, avec un bonheur parfait. Et j’ai mis un temps fou à lire, relire, détailler, trouver des parallèles graphiques, mieux comprendre et m’imprégner à fond !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux : c'est le sentiment d'avoir fait une bonne action (par exemple, quand je faisais Paris-Dakar, arriver dans les villages et donner ce qui était dans le camion). Voir ma femme heureuse avec moi ou plus simplement rendre service à quelqu'un.
Thierry , 47 ans, Argenteuil (France)Une jeune Agent du bonheur s’était inscrite sur le Happython et elle avait eu de nombreux témoignages. Tous les 7 témoignages heureux obtenus, il lui était envoyé un diplôme d’Agent du Bonheur avec une étoile supplémentaire. Elle avait donc obtenu tous les diplômes étoilés et, ayant une scolarité plutôt aléatoire apparemment, elle nous avait envoyé un mail en nous disant : « Je ne fais rien à l’école, et c’est la première fois que j’ai un diplôme de ma vie, ça me donne envie de continuer ! ». Elle a obtenu par la suite, un « Trophée Happython » pour le grand nombre de témoignages qu’elle avait recueilli.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Remarquer que lorsque je me sens heureux, j’ai moins besoin de plaisirs, quels qu’ils soient, mais que finalement, c’est bon quand même…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Actuellement, j’ai trouvé une combine pour manger de façon sympa, je mets du râpé sur tout ce que je cuis. Bon, c'est pas la trouvaille de l'année, mais pour le moment, ça me convient bien !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)En recevant un mail aujourd’hui, je me suis rendu compte que l’année de ma naissance a aussi permis d’exister à : Ma sorcière bien-aimée, Mary Poppins, Le Gendarme de Saint-Tropez, Angélique, Marquise des anges, l’arrivée des Pink Floyd et des Who, et le Docteur Folamour de Kubrick !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui m'a rendu heureux aujourd'hui, ça a été de régler des trucs en cours... Etre allé au magasin spécial vélo pour la révision des 6 mois avec un changement des pièces offertes par la maison, royal... ! Envoyer des mails (importants)... Avoir lâché-prise sur deux choses dont je ne me rappelle plus... Et voir que la vie continue, invariablement, et que mon esprit continue de colorer et décolorer des contrastes que je m'invente, que je rectifie et qui me surprennent... !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Découvrir tous ces témoignages heureux sur le site me donne des rappels permanents de moments où je peux souvent dire : « Ah oui, moi aussi, ça me faisait ça ! » ou « Ah oui, moi c’est pas exactement pareil, mais oui... ! ». Et même les " Pas pour moi ! " me sont familiers ! Il y en a qui sont réellement simples et totalement insolites, touchants, profonds, délicats, sensibles, directs… Je me sens concerné par tout !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Mieux sentir la différence entre ce que je veux avec insistance, pour combler un vide avide, et suivre mon élan, volontairement.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Certains profs qui m’ont inspiré : prof de 5ème, et en 4ème en français, prof d’allemand en 1ère et terminale, prof de littérature américaine, 1ère année de fac.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Savoir que j’aurai des moments heureux avant la fin de cette journée, que je ne connais pas encore (et demain aussi !).
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Créer, co-créer, imaginer, conceptualiser, relativiser, schématiser, construire, dessiner, rendre logique, garder l’aléatoire et le déséquilibre…
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est de sentir que le bonheur des autres est particulièrement inspirant quand je m'occupe du mien. Je suis heureux de me rappeler de choisir mon regard, et de mieux voir que parfois, je n'y arrive pas (et c'est OK !).
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Le premier film de cinéma que j'ai vu, c'était au Grand Rex, pour voir Aladin et la lampe merveilleuse, un dessin-animé. Le plafond était étoilé, en regardant ce ciel, j'avais l'impression d'un mystère que je pouvais sonder !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)La première fois que j’ai pensé à donner un nom à la fonction de ceux qui poseraient l’heureuse question du Happython, c’est «Agent du Bonheur» qui m’est venu. Ensuite, j’ai hésité à l’employer, n’était-ce pas un peu «too much» ? J’ai alors regardé le dictionnaire qui définissait ainsi le mot agent : «… dans un cadre général, un agent concerne tout phénomène physique qui a une action déterminante : les agents d’érosion, les agents pathogènes,…». Un agent du bonheur pourrait bien avoir une action déterminante sur le bonheur dans l’avenir, qui sait ? Je me suis dit : «OK, ça colle !» et l’Agent du bonheur a décollé et cette nouvelle association de mots a commencé à se répandre un peu partout !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, c'est les filles qui font entre 95 C et 110 E de poitrine !
Thierry , 25 ans, Saint-Gratien (France)Ce qui me rend heureux, ce sont mes enfants, et la force de les avoir élevés avec mon épouse...
Thierry , 45 ans, Annecy (France)Alors que j'étais malade, mes grands-parents, pour me faire plaisir, m'avaient acheté les chaussures que je préférais : des chaussures de foot ! J'allais fièrement partout avec elles ! Dans la rue, à l'école... Je ne savais pas que les crampons servaient spécifiquement pour accrocher le terrain et sûrement eux non plus, mais ils m'aimaient suffisamment pour considérer, comme moi, que ce n'était pas si important, tant que ça me rendait heureux !
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)J'aime l'agitation de l'écume sur l'océan de la vie, j'aime le bruit des vagues au large du silence, sous les sombres nuages, et les courants qui inspirent l'apaisement, vers les rives sans âge, rivage.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Apprendre, intégrer, transmettre parfois, voir les effets, accepter et manger des bonbons au caramel.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Je crois que d’ici ce soir, le 1er mars 2012, on va atteindre et même dépasser les 50 000 messages heureux pour le Happython. 50 000 !!! Si j’avais pensé, en commençant ce projet, qu’on en arriverait à ce nombre !!! J’ose à peine imaginer le nombre qu’il y aura dans quelques années !!! Oh, après tout, si, je peux oser ! En tout cas, cette étape-là me plaît bien ! Partager avec tant de gens, directement et indirectement cette dynamique, me rend très léger et à la fois, intense.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Hier, alors que je validais des témoignages heureux sur le Happython, je voyais arriver en direct et alternativement, des témoignages heureux de mes « deux amis de 25 ans » (de la période Tremblay, non pas en France, mais plutôt Gonesse), un de Bordeaux, un de Bangkok, un autre de Bordeaux, un autre de Bangkok, etc. L’espace et le temps sont relatifs.
Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)Ce qui me rend heureux, ce sont les petites choses simples de la vie : un regard, un sourire, une attention... d'une personne qu'on aime.
Thierry , 22 ans, Nice (France)témoigne