Ce qui les rend heureux... | Happython

Rechercher un témoignage

Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

La première fois que j’ai pensé à donner un nom à la fonction de ceux qui poseraient l’heureuse question du Happython, c’est «Agent du Bonheur» qui m’est venu. Ensuite, j’ai hésité à l’employer, n’était-ce pas un peu «too much» ? J’ai alors regardé le dictionnaire qui définissait ainsi le mot agent : «… dans un cadre général, un agent concerne tout phénomène physique qui a une action déterminante : les agents d’érosion, les agents pathogènes,…». Un agent du bonheur pourrait bien avoir une action déterminante sur le bonheur dans l’avenir, qui sait ? Je me suis dit : «OK, ça colle !» et l’Agent du bonheur a décollé et cette nouvelle association de mots a commencé à se répandre un peu partout !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est ce petit bout de chou de deux mois et demi dont la maman m'a demandé d'être le parrain.

Thierry , 31 ans, Paris (France)

Le moment délicieux où ma femme joue la mutine, quand ses yeux brillent d'une espièglerie teintée de libertinage !

Thierry , 38 ans, Villiers-sur-Marne (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir travaillé toute la journée sur le Happython et de ne pas avoir vu le temps passer.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Prendre le temps d’écrire.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les cours de bande-dessinées à l’université Paris VIII, j’avais l’impression de comprendre enfin ce que je savais déjà en le ressentant. Les cours à Duperet, qui m’ont aidé à saisir la subtilité de quelques techniques graphiques.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Trouver des choses sans les chercher.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'apprécie de rencontrer de nouvelles personnes et de saisir leur authenticité.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de voir la progression journalière des témoignages sur le Happython, les points communs, les différences, les insolites, les sourires, et étonnements que cela me donne.

thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le premier exposé que j’avais présenté, avec Mihran, en CM2. On avait choisi le thème des religions, on avait collé plein de feuilles, fait des dessins, avec les symboles des grandes religions. J’étais content, ça faisait sérieux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le jour de ma naissance 20 Octobre 1965 et de partager ce bonheur avec Iko et Sophie.

Thierry , 35 ans, Villedieu-les-Poeles (France)

Ce qui me rend heureux, c'est l'inspiration, partager ça avec d'autres, transmettre et recevoir aussi.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Alors que j’étais interviewé par un journaliste, celui-ci me demande : « Quel est le moment heureux qui vous revient dans le Happython ? ». Je lui parle de cet Agent du bonheur de Vaulx-en-Velin, qui nous avait dit : « C’est drôle, aujourd’hui, j’ai eu 34 témoignages heureux. Et en fin de journée, j’étais surpris de voir que les gens que je croisais me souriaient. Je me suis alors demandé s’ils me souriaient parce que je leur avais déjà posé la question ou si, simplement, en posant la question aux autres, on rayonne du bonheur ? ». J’étais alors avec d’autres Agents du bonheur (une équipe qui avait travaillé avec moi sur le projet de Jeumont), et entendant ce récit, deux d’entre eux me disent : « Moi aussi ! C’est exactement ça ! Des gens m’ont demandé d’où je tenais cette banane ! ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est la vie tout simplement.

Thierry , 31 ans, Voiron (France)

Trouver ce que j’aime, aimer ce que je trouve et accueillir un peu mieux les surprises.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les textos que je reçois de Malick, habitant Babagarage au Sénégal.

Thierry , 24 ans, Saint-Etienne (France)

Remarquer que lorsque je me sens heureux, j’ai moins besoin de plaisirs, quels qu’ils soient, mais que finalement, c’est bon quand même…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir vu un ami que je n'avais pas vu depuis 10 ans ! Actuellement, c'est la série !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, une nana qui sourit !

Thierry , 40 ans, Marseille (France)

L'amour de mes proches.

Thierry , 46 ans, Paris (France)

Partager, communier, sourire.

Thierry , 58 ans, Lille (France)

Avoir travaillé sur un album concept, où j'avais écrit les paroles et composé la musique. Avoir partagé des répèts avec Nacéra, Corine, et Philippe, parti dans le royaume céleste des batteurs depuis, et des moments de compositions et d'arrangements, avec José. Plein de moments rigolos, intenses et festifs !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Mon métier, ma passion, vivre avec et pour la musique, développer de nouveaux thèmes musicaux, faire des arrangements musicaux dans tous les styles et de surcroît transmettre l'ensemble de ma passion, la musique à tous, jeunes et moins jeunes. Merci à ma femme Elena de trouver chaque jour les mots justes qui me donnent la force de poursuivre mon activité.

Thierry , 30 ans, Bonneuil-sur-Marne (France)

Quand j’avais 11 ans, pendant que mes parents n’étaient pas là, je virais la table du séjour et les sièges sur le côté, et je jouais au tennis avec une balle en caoutchouc qui rebondit partout et une raquette de badminton. C’était vraiment fun et ça développait les réflexes !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La nature, puissante, toujours là, l’air, l’eau, les forces de vie, et l’insolite beauté du monde.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Découvrir tous ces témoignages heureux sur le site me donne des rappels permanents de moments où je peux souvent dire : « Ah oui, moi aussi, ça me faisait ça ! » ou « Ah oui, moi c’est pas exactement pareil, mais oui... ! ». Et même les " Pas pour moi ! " me sont familiers ! Il y en a qui sont réellement simples et totalement insolites, touchants, profonds, délicats, sensibles, directs… Je me sens concerné par tout !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j’ai vu Barbarella, le film avec Jane Fonda, adolescent, j’étais resté scotché sur l’histoire, le personnage délirant (je connaissais la bande-dessinée) et j'étais sous le choc ! J’avais l’impression que c’était la femme parfaite du futur et qu'en plus, elle avait de l'humour !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Savoir que j’aurai des moments heureux avant la fin de cette journée, que je ne connais pas encore (et demain aussi !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L’envie de s’éveiller des rêves du quotidien.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est quand je peux vivre le moment présent en ne pensant à rien d'autre.

Thierry , 44 ans, Bruxelles (Belgique)

Quand j’avais 9 ans, j’étais parti en vacances pendant un mois chez mes grands-parents. A quasiment chaque sieste quotidienne qu’ils faisaient, je trouvais une blague pour leur faire une surprise : je les attachais au lit sans qu’ils s’en aperçoivent, je changeais de place des objets de la maison, je cachais leurs vêtements,… ça les amusait (ou faisaient semblant de jouer le jeu), et je continuais...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

En 2003, il y avait pas mal d’Agents du Bonheur qui posaient cette heureuse question dans le monde, grâce à Internet. Pour l’expo de Lille 2004, capitale européenne de la culture, on avait proposé des réunions d’Agents du Bonheur et chaque mois, des habitants de la ville de Mons-en-Barœul et alentours, venaient pour témoigner et aussi pour apprendre à faire témoigner leurs voisins et collègues. Voyant les expériences que vivaient les gens dans cette nouvelle activité, nous avons décidé de créer un petit film reprenant toutes ces situations, parfois insolites, d’où la réalisation du film : « Comment devenir un incroyable Agent du Bonheur ? ». C’était une heureuse décision créative qui a grandement facilité les choses !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ma mère, ma grand-mère, mon grand-père, ma tante, mon oncle, l'autre aussi, et les autres ensuite, m'ont rendu heureux... parfois plus encore.

thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Un Agent du bonheur de Vaulx-en-Velin, qui s’était inscrit sur le site du Happython, avait commencé à faire témoigner des personnes au hasard des rencontres : quidams de la rue, voisins et autres. Il nous contacte et nous dit : « C’est drôle, aujourd’hui, j’ai eu 34 témoignages heureux. Et en fin de journée, j’étais surpris de voir que les gens que je croisais me souriaient. Je me suis alors demandé s’ils me souriaient parce que je leur avais déjà posé la question ou si, simplement, en posant la question aux autres, on rayonne du bonheur ? ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Me sentir relié et sentir parfois que cette sensation se « déplie » en dehors de moi.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’aime ressentir la vie, quand parfois mon esprit ne traduit rien du monde, que je sens un flux constant et léger.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L’appel d’un(e) ami(e) que j’attendais, ou que je n’attendais pas.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première courgette de l’année à jaillir triomphalement du jardin, à travers toutes ces gigantesques feuilles ! Quelle nature vivante !

Thierry , 61 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, ce sont les petites choses simples de la vie : un regard, un sourire, une attention... d'une personne qu'on aime.

Thierry , 22 ans, Nice (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de créer le futur que j'imagine, de le partager et de m'apercevoir jour après jour que la légèreté et la persévérance sont des attitudes étonnantes pour se laisser toucher... Par l'art et la délicatesse que déploit la vie pour nous éveiller à nous-même... Sans oublier personne.

Thierry , 40 ans, Noisy-Le-Grand (France)

Les Aristochats ! J’étais allé en centre de loisirs et on avait vu ça. Puis, plus tard, le Livre de la Jungle. A moins que ce ne soit l'inverse ?

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Certaines parodies, les détournements de Mozinor.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première fois que j'ai vu ma nièce Lili.

Thierry , 28 ans, Saint-Laurent-en-Grandvaux (France)

Jouer de la basse me rend heureux et en avoir beaucoup joué à une autre époque m'a rendu très heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Durant l’exposition qui se déroulait à Jeumont, il y avait une équipe d’allocataires du RMI qui avait été formée pour devenir des Agents du bonheur. Leur job était donc de poser l’heureuse question à leur famille, leurs voisins, leurs amis et également des inconnus. Leur impact dans la ville devenait tellement positif, qu’un jour, la responsable du bureau de poste de la ville me téléphone et me dit : « On arrive à la fin du mois et cette période est souvent la plus difficile pour l’accueil aux guichets, voyant le travail positif qu’ont fait les Agents du bonheur, vous pourriez leur dire de passer si c’est possible ? ». C’était étonnant et insolite ! Je les ai appelés, ils sont passés, tout s’est bien déroulé, et ils ont obtenu des messages heureux. La fonction « d’Agent du bonheur » était prise au sérieux !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je devais être adolescent, et j'étais allé à un concert de Jon Scofield, que je ne connaissais pas à l'époque. Il avait une façon complètement originale de jouer. Un moment, je me suis complètement perdu, agréablement, dans sa musique, simple, j’étais dans un état second. J’ai pensé juste après à cette histoire du joueur de flûte qui amène les souris hors de la ville. Je m’étais vraiment senti souris, à voguer où il m'emmenait, et non seulement je souriais à cette idée, mais je me rendais compte que les effets de la musique étaient plus profonds, puissants, vastes, que je ne pouvais l’imaginer.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Heureux que les programmations pour la version internationale soient faites, reste plus qu'à embellir un peu le design et les autres pays vont commencer à "vibrer Happython"... Gratitude à Ben et aussi pour tous les traducteurs qui avaient bien bossé dessus il y a quelques années, leur travail sera enfin visible !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’aime cette phrase : « La meilleure façon d’enlever une mauvaise habitude, c’est d’en mettre une bonne à la place ». Vivre l’expérience que c’est la répétition des questions qui ne nous aident pas qui nous font vivre des réponses, sous la forme de situations, que nous ne reconnaissons pas et que nous n’aimons pas. Inverser la tendance est un choix, et c’est cool de savoir que cette boucle à une fin et qu’on peut se poser des questions plus délibérément et moins débile et vraiment.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les concerts de musique que j'ai faits m'ont vraiment plu. Le feeling avec les amis, les échanges, les répétitions, les créations,... J'aimais créer des patterns de basse funk ou jazzy et des structures rigolotes que je présentais au groupe, l'envie partagée qui se dégageait de ça et les réalisations étaient vraiment kiffantes !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j’avais vu le film « Voyage au centre de la terre », un dimanche après-midi, à la télé, étant tout jeune.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L'éclat des yeux de la femme que j'aime lorsqu'elle plonge son regard en dedans de moi…

Thierry , 39 ans, Gentilly (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me rendre compte que faire du vélo dans le froid est tonifiant au point que les idées fixes se glacent et se cassent toutes seules : free-go !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand ()

Ce qui me rend heureux, c'est d'accepter les choses telles qu'elles sont.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avec le temps, considérer davantage mon mental puzzle comme un étrange rubixcube, et être plus délicat avec lui.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Penser à mes ami(e)s, accepter le présent qui s’agrandit, et la sensation du passé qui diminue, disparaît, s’efface… Avec le temps, tout s’en va.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Revisiter mes souvenirs et me rappeler qu’il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir reçu un message qui est la preuve d'un pardon accordé par un ami... peut-être retrouvé...

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Ce qui me rend heureux, c'est quand il y a ma famille, mes copines, mon neveu et ma nièce.

Thierry , 12 ans, Loches (France)

Le choix de me rappeler des moments heureux et de récupérer suffisamment de soleil pour éclairer les ombres en attente. Être en paix.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Echanger et ouvrir de nouvelles dimensions ou en retrouver qui étaient oubliées.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est quand elle m'a dit je t'aime pour la première fois.

Thierry , 22 ans, Nice (France)

Voir le regard de l’autre sourire, avant ou en même temps que sa bouche.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Certains profs qui m’ont inspiré : prof de 5ème, et en 4ème en français, prof d’allemand en 1ère et terminale, prof de littérature américaine, 1ère année de fac.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de délirer avec mes potes !

Thierry , 21 ans, Bordeaux (France)

Tout ce qui ne m’est pas arrivé depuis que je suis né, ce à quoi j’ai échappé sans le savoir, et qui aurait pu me rendre profondément malheureux, et que je ne saurai jamais. Ouf ! La vie est bien faite !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’aime quand je deviens conscient dans mes rêves. Mon rêve se déroule et soudain je me dis : Mais je rêve, je suis en train de faire un rêve lucide ! Ensuite, tout devient plus vivant, réel et j’ai cette double sensation agréable que, non seulement tout est possible dans ce décor coloré, profond et brillant, mais que je suis simultanément dans un autre endroit où rien ne peut m’arriver : dans mon lit sous ma couette. Alors je vole, je fais des rencontres, des prises de conscience sur les autres mondes et ça me rend heureux. Cette impression d’être un mélange d’Indiana Jones, pour l’aventure, de Little Nemo, pour cet environnement si intense, et de Géronimo, pour le chaman entre deux mondes, ça m’amuse beaucoup et ça m’ouvre des portes de possible dans la vie.

Thierry , 34 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’ai aimé écrire un bouquin qui n’est pas encore paru, mais que je mettrai sûrement en ligne un jour, qui s’appelle : « Vous êtes l’artiste de votre vie, même le lundi matin quand il pleut ». C’était un bon challenge de m’organiser pour exprimer ce que je ressentais et de rendre ça drôle à chaque page.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le son de basse de Marcus Miller pour Full Nelson, dans Tutu Revisited. Le feeling de Kaki King dans sa conférence Ted. Bobby mac Ferrin, que j’avais vu en concert, où on n’avait pas le droit d’applaudir, pas d’instruments, juste sa voix…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire plus facilement la différence entre "Le moral est au beau Fixe" et "le Mort-râle est au Bof X".

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Me poser, être serein, revenir et repartir à l’essentiel.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Cette soirée, là, qui arrive, je vais regarder un film plutôt marrant (mais je vais manger avant, je suis un peu à la bourre, là !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Aujourd'hui, ce qui me rend heureux, c'est le retour des beaux jours : du soleil, du soleil, du soleil !

Thierry , 22 ans, Nice (France)

Aimer sans attendre. Ne pas attendre d’être aimé, ou mieux voir cette délicate illusion, et en sourire plus facilement (et plus rapidement !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir découvert via le hasard du net, ce danseur liquide appelé David Elsewhere, ce qu'il fait est vraiment étonnant, et de voir un tel monde intérieur en mouvement, ça détend heureusement !

Thierry , 44 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de faire passer ce que j'aime et de me rappeler, via le regard de l'autre, qu'en fait, j'aime ça plus que je n'imagine.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand ()

Ce qui me rend heureux, c'est de voir le design de la nouvelle Palette de Vie du formulaire du Happython... Voir progresser le Happython au niveau technique et design est un bonheur ! Holly gratitude à Ben !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, ce sont des amis qui me rappellent des moments heureux, des périodes, que j'avais oubliés.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand mes grands-parents et la famille de mon oncle venaient chez nous, je savais qu'on allait passer la soirée à faire des pizzas et en manger jusqu'à plus faim. Il y avait une ambiance famililale touchante, vibrante, excitante, mon cousin et moi parlions enfin des choses secrètes dont nous étions les seuls détenteurs et que personne ne pouvait soupçonner : le bouclier de Captain America était fait en matière de boomerang et il revenait tout le temps dans les mains, c'était comme ça !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu Alain, un ami d’enfance, au téléphone cet après-midi. Il a eu un AVC, je ne le savais pas. Il est en rééducation, et il me disait qu’il se sentait serein. Il semblait plus en contact avec lui, après tous les déboires qu’il avait vécus. Il m’a confié que ce qu’il avait vécu dans son enfance pouvait avoir participé à ce choc. Il avait un point de vue plus profond sur sa vie et son avenir. Content pour lui, qu’il s’éveille à tout ça.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

A la première expo du Happython in situ, à la Poste de Pantin-les-Limites (véridique : joli nom !), entre Bobigny et Pantin, en octobre 1998, l’effet que donnaient les témoignages épinglés sur des fils à linge au dessus des guichets, et les posters, étaient vraiment drôles. Les clients avaient les yeux en l’air, étaient étonnés ou souriaient et semblaient plus paisibles. Les emploi-jeunes, à l’époque, avaient été supervisés pour, quand ils en avaient la possibilité, poser l’heureuse question, à celles et ceux qui faisaient la queue. A la fin de l’expérience qui a duré 15 jours, le responsable nous a dit qu’il avait perçu moins d’agressivité pendant cette période et nous a remerciés. Premier effet collectif du Happython !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Il y a des profs que j’ai vraiment appréciés : mon maître d’école en CM1, mon prof de français qui m’avait fait découvrir Raymond Queneau, avec les Exercices de style et L’enfant de la haute mer, de Jules Supervielle, ma prof d’allemand, qui m’avait bien aidé en première et bien après, ma prof de littérature américaine, à l’université, et d’autres encore…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir habité les villes que j'ai habitées, de mon enfance à aujourd'hui...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Dormir, rêver…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
Je
témoigne