Ce qui les rend heureux... | Happython

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Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

La prochaine exposition.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Rendre service à des gens sans le savoir et réciproquement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

En recevant un mail aujourd’hui, je me suis rendu compte que l’année de ma naissance a aussi permis d’exister à : Ma sorcière bien-aimée, Mary Poppins, Le Gendarme de Saint-Tropez, Angélique, Marquise des anges, l’arrivée des Pink Floyd et des Who, et le Docteur Folamour de Kubrick !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux chaque fois que j'établis avec une personne une relation sincère et partagée d'amitié, de fraternité ou d'amour.

Thierry , 54 ans, Taluyers (France)

Mon premier concert de rock blues : Bill Deraime, avec mes potes, Marc, Claude, Mihran, Denis !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir appris de personnes dont je ne savais pas au départ qu’elles m’ameneraient quelque chose (j’avais même parfois l’idée du contraire au début !).

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a fait marrer, c'est de voir que le 50 000ème témoignage heureux, c'est Arnaud qui aime la raclette ! La simplicité du bonheur fondu, sans en faire tout un fromage !!

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être allé pour la première fois en vélo d’Aulnay-sous-Bois, où j’habitais quand j’étais enfant, jusque la forêt de Senlis, avec Check, avec qui je chantais : « Don’t play that song for me » d’Adriano Celentano, on se prenait pour des cyclistes chanteurs et on s’éclatait de rires. Avec aussi Pascal, Cidoine, Mihran, une heureuse expédition !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Parfois, aider un escargot à traverser son chemin, le téléporter d'un endroit à un autre. Même si c'est un guerrier puissant qui peut passer entre les roues d'une voiture, autant lui donner un coup de main...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Savoir qu’une personne a pu traverser une épreuve dans sa vie et en sortir plus grand, plus souple et davantage déterminée sur ce qui compte le plus pour elle.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu très heureux, ça a été mon premier baiser, avec Yannick, dans un local de tennis... J'étais pré-ado, elle avait 3 ans de plus que moi et j'avais eu un vertige profond... J'étais stupéfait qu'on pouvait ressentir et partager une telle sensation. Un nouveau monde s'ouvrait à moi !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Penser à mes ami(e)s, accepter le présent qui s’agrandit, et la sensation du passé qui diminue, disparaît, s’efface… Avec le temps, tout s’en va.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux : une aventure coquine.

Thierry , 36 ans, Cavaillon (France)

La première version du site internet sur le Happython est sorti le 12 septembre 2001. C’était une date qu’on avait choisie une ou deux semaines auparavant. Effectivement, le 12 septembre, c’était le lendemain du 11, et propager un Virus du Bonheur sur Internet ce jour-là pouvait sembler décalé. Nous avons mis ce texte en intro, qui était déjà publié en posters pour des expos précédentes : « Je dédie tout le travail effectué et à faire, à tous ceux qu’on a aimés, qui sont passés de l’autre côté, et à tous les moments heureux qu’il nous reste à créer, avant de les retrouver... ou pas ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Découvrir tous ces témoignages heureux sur le site me donne des rappels permanents de moments où je peux souvent dire : « Ah oui, moi aussi, ça me faisait ça ! » ou « Ah oui, moi c’est pas exactement pareil, mais oui... ! ». Et même les " Pas pour moi ! " me sont familiers ! Il y en a qui sont réellement simples et totalement insolites, touchants, profonds, délicats, sensibles, directs… Je me sens concerné par tout !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Nager dans les eaux de Key West, en Floride, claires, soleil incorporé, goût de sel, poissons vivants et colorés sans la télé, lunettes et tubes pour respirer (éventuellement) hors de l’eau, se laisser flotter…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

M’impliquer dans ce que j’aime, savoir alterner pour prendre du temps, échanger avec d’autres, avoir davantage confiance en la vie, voir davantage également la différence entre ce que je « veux » pour tenter d’éviter quelque chose, et suivre mes élans qui parfois me font traverser les obstacles sans m’en apercevoir.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est que tout est nickel !

Thierry , 54 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux car le hasard à voulu que depuis un an nous nous connaissons sans même nous être vu, que l'on discute sans même ouvrir la bouche, et pourtant l'on a appris à se connaître, se respecter, s'apprécier. Je suis heureux car ce même hasard a fait croiser nos chemins. Je suis heureux car depuis une semaine je ne peux plus m'éveiller, agir, respirer, sans plus penser à elle. Je suis heureux bien que je ne sais pas si j'ai raison de vivre, de respirer. Je suis heureux car j'ai une raison de vivre, et ferais tout pour la rendre heureuse. Je suis heureux de penser qu'un jour cet oiseau mythique renaîtra de ses cendres pour moi. Je suis heureux tout simplement parce que je l'aime.

Thierry , 32 ans, Paris (France)

Les tournois de tennis dans le carré de service.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’ai vraiment aimé me promener dans tous les marchés d’Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France, (avant, c’était Tremblay-les-Gonesse) notamment avec ma tante, Mihran et Chek, mes amis, mais aussi seul, à pied, en courant, en vélo, pour aller trouver des bandes-dessinées, les Strange, Marvel, Eclipso, Etranges Aventures, l’Inattendu,… Et aussi les Bob Morane, les Doc Savage...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'aime l'agitation de l'écume sur l'océan de la vie, j'aime le bruit des vagues au large du silence, sous les sombres nuages, et les courants qui inspirent l'apaisement, vers les rives sans âge, rivage.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Être insouciant. Avoir confiance que mon cœur bat sans que j’y fasse attention, que mes poumons respirent sans que je me rappelle de le faire, que la vie est là, même quand ma tête l’oublie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Un jour, nous avons reçu un courrier papier (oui, comme à la vieille époque) d’une personne anonyme (un Agent du bonheur postal ?), qui avait noté cette citation empruntée à un auteur (tout aussi anonyme), pour valider la dynamique du Happython. La voici : " Je veux être absolument heureux, ne jamais souffrir, ne manquer de rien et placer l'univers entier dans le même état. Je veux voir s'accomplir maintenant et pour toujours le bonheur suprême de l'humanité entière, sans aucune peine ni effort pénible. Je veux le bonheur total de tout ce qui est conscient dans l'univers visible ou invisible. Je veux l'éradication de toute peine, de tout souci, pour tout et toute créature née et à naître. Tout cela, je le veux de toutes mes forces, de tout mon esprit, de tout mon corps. Je veux que cela s'accomplisse sans limitation dans le temps ni dans l'espace. Je veux avoir la totale conscience de ce bonheur partagé par tous et toutes, sans aucune entrave. Je ne veux le sacrifice de personne, pas même de moi-même. Je veux que cette idée s'impose partout très rapidement. Je veux voir toutes les forces du monde se mobiliser dans ce sens, sans effort. Je veux enfin que cet objectif ne me quitte plus jamais et tout mettre en œuvre pour ne jamais être tenté de me défaire de cet objectif sublime. Je veux que cet accomplissement ne me coûte aucune douleur et qu'il n'en coûte à personne ".

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire la sieste parfois, et parfois méditer la nuit.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'ai bossé récemment avec quelqu'un pour faciliter la réalisation de son projet personnel et ce qui m'a plu, c'est cette phrase qui m'est revenue à l'esprit : "On enseigne le mieux ce qu'on a besoin d'apprendre"... La vie est un joli reflet en spirale...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J’ai apprécié de poser cette question : «Qu’est-ce qui vous rend, ou vous a rendu heureux(se) ?» à des internautes qui ne s’y attendaient pas, via des forums, des tchats divers… Ils ne me connaissaient pas, et souvent, la question était décalée du contexte. Ils étaient surpris que je les interroge sur ce thème, et nombreux étaient celles et ceux qui n’avaient pas entendu parler de cette dynamique. Mais pour ceux qui répondaient spontanément et qui allaient sur le site du Happython par curiosité, c’était une heureuse surprise !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir parlé ce matin avec deux personnes d'âme à âmes de cœur à cœur sans jugement et sans crainte d'être jugé.

Thierry , 47 ans, Arradon (France)

Quand je trouve une fille qui me fait rire, ça me rend heureux, tout simplement

Thierry , 29 ans, Talence (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me sentir impliqué dans un projet qui m'inspire, et dans cet élan, sentir les atomes, non pas crochus mais élastiques, avec des gens inspirants également. Co-créer du lien rend heureux.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Aujourd'hui, ce qui me rend heureux, c'est le retour des beaux jours : du soleil, du soleil, du soleil !

Thierry , 22 ans, Nice (France)

Un Agent du bonheur de Vaulx-en-Velin, qui s’était inscrit sur le site du Happython, avait commencé à faire témoigner des personnes au hasard des rencontres : quidams de la rue, voisins et autres. Il nous contacte et nous dit : « C’est drôle, aujourd’hui, j’ai eu 34 témoignages heureux. Et en fin de journée, j’étais surpris de voir que les gens que je croisais me souriaient. Je me suis alors demandé s’ils me souriaient parce que je leur avais déjà posé la question ou si, simplement, en posant la question aux autres, on rayonne du bonheur ? ».

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me sentir plus facilement en paix pour accueillir ce qui ne semble pas paisible.

Thierry , 50 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand j’étais gosse, j’avais été invité à un Noël de comité d'entreprise de mon père. Il y avait un spectacle, c’était le premier spectacle vivant que je voyais, et dans ce spectacle, un clown. Ça me faisait tellement rire, que je me roulais par terre.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de m'apercevoir que mon père n'est peut-être pas le salaud que je pensais.

Thierry , 35 ans, Lyon (France)

J'ai aimé mon cheval ! Ce qui m'a rendu heureux, c'est qu'il mange mieux.

Thierry , 40 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'accepter les choses telles qu'elles sont.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Je suis heureux devant ce qui est beau (un paysage, un sourire, un enfant qui joue).

Thierry , 36 ans, Carpentras (France)

Quand j’ai vu pour la première fois « Les ailes du désir », de Wim Winders, et la soirée qui avait suivi.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Un sourire me rend heureux, un lever de soleil, une mer calme...

Thierry , 25 ans, Brest (France)

Avoir de bonnes nouvelles et manger des fruits.

Thierry , 52 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir eu des périodes où j’ai beaucoup joué aux Dames, quand j’étais ado… A un moment, même quand je communiquais ou je jouais au tennis, j’avais l’impression que c’étaient les mêmes règles ! Avancer un pion, avancer au filet, avancer un point de vue, ou un échange, revenir, intégrer deux points de vue, faire des points gagnants, et avancer, tranquillement, mais sûrement, vers le fond du damier et à la volée !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

L’envie de s’éveiller des rêves du quotidien.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avoir écouté en boucles, selon les âges : Pink Floyd, les Poppies, Les Rubettes, Bob Marley, Jimi Hendrix, Serge Gainsbourg, Sting, Peter Gabriel, Marcus Miller, Miles Davis,… Ah oui, Manitas de plata, aussi… Mon oncle l'aimait beaucoup...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de partager des moments vrais, intimes, délicieux, toniques et... simples !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est la chaleur de l'amitié, cette générosité qui n'attend pas de retour, et qui est juste là, simplement.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Prendre le temps.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Sourire en me rendant compte que je n’ai vécu que des moments uniques avec de nombreuses personnes, que je n’avais jamais vécus avant, et que je ne vivrai plus jamais, mais que de nombreux autres moments uniques sont à vivre, avec ces mêmes personnes, ou d’autres, que je ne peux même pas m’imaginer encore.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La vie me rend heureux.

Thierry , 35 ans, Paris (France)

Les concerts de musique que j'ai faits m'ont vraiment plu. Le feeling avec les amis, les échanges, les répétitions, les créations,... J'aimais créer des patterns de basse funk ou jazzy et des structures rigolotes que je présentais au groupe, l'envie partagée qui se dégageait de ça et les réalisations étaient vraiment kiffantes !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, la vie.

Thierry , 34 ans, Saint-Denis (France)

Ce qui m'a rendu heureux, en proposant ce projet, c'est de voir que ça prend et que le virus se répand.

Thierry , 38 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me réveiller, de vivre, manger, partager, suivre le cours des choses et d'aller dormir, pour rêver aussi.

Thierry , 50 ans, Maiduguri (Nigéria)

Nous étions allés à Marcoussis pour interviewer l’équipe de France de rugby avec un ami vidéaste. Nous avions un contact qui nous avait invités. Un peu à l’avance, nous les attendions dans la salle de presse. Progressivement, on a vu arriver toutes les grandes chaînes de télés et les radios, nous ne savions pas qu’elles viendraient. Je me disais qu’il allait être impossible de leur poser cette question : « Qu’est-ce qui vous rend, ou vous a rendu, heureux ? », en sachant qu’on devait les amener en dehors de la salle pour créer une intimité. Les rugbymen arrivent, tous les journalistes leur sautent dessus. Je fais un break et, en tant qu’Agent du bonheur non diplômé, je me dis « J’y arriverai jamais ! », mais bon, je lâche prise. Un se libère de l’aimantation des journalistes, je m’approche, je lui pose la question, ça lui plaît, on le filme et il nous fait la pub auprès des autres, qui, tous, un par un, sont venus (ça semblait leur faire des vacances par rapport aux questions posées sur leur actualité). Certains témoignages étaient touchants, et l’expérience, plutôt heureuse pour nous aussi.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux aujourd'hui, c'est que rien ne s'est passé comme je l'escomptais, mais finalement, ça finit bien autour d'une paëlla !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m’a rendu heureux, c’est un coup de cœur.

Thierry , 41 ans, Pecq (France)

Me sentir libre... L'espace, au-delà des bruits... Le silence, au-delà des formes... Tranquille...

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est quand elle m'a dit je t'aime pour la première fois.

Thierry , 22 ans, Nice (France)

Voir un film, lire un article, voir un épisode de série pétillante, écouter de la musique, en faire…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m’a rendu heureux, c’est l’argent, les femmes et c’est la joie de vivre.

Thierry , 26 ans, Jeumont (France)

Voir les témoignages heureux arriver parfois en direct, de France, d’Espagne, de Thaïlande, de Suisse, de lieux dont je sais que des amis y vivent et… ont des moments heureux, qu’ils le partagent.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c’est d’avoir le choix, de me le rappeler, de le vivifier et lâcher-prise sur le fait d’avoir le choix, pour en avoir davantage.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

En 2003, un journal gratuit national nous avait donné un espace avec un encart pour relater l’évolution du Virus du Bonheur. Ainsi, tous les jours, il y avait un témoignage heureux et le nombre associé du site. Certains lecteurs, devenus fans du Happython, y mettaient du cœur, notamment une personne de Toulouse qui, pour faire monter le Record du Monde des moments heureux, allaient jusqu’à laisser 30 témoignages heureux certains jours ! Grâce à elle, Toulouse a bénéficié de plusieurs milliers de messages ! Respect !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, l'amour bien sûr... et la quête du moi également, quand on arrive à mettre le doigt sur quelque chose d'inconscient en soi-même.

Thierry , 38 ans, Thorigny-sur-Marne (France)

Prendre le temps d’écrire.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le choix de me rappeler des moments heureux et de récupérer suffisamment de soleil pour éclairer les ombres en attente. Être en paix.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Rien que de me poser cette question : "Qu’est-ce qui me rend, ou m'a rendu, heureux ?", ça m'invite à être heureux ! Comme un rappel que j'ai le choix d'activer où je pourrai bien mettre mon attention... Un rappel que je peux éprouver les pensées et émotions que je préfère, pas uniquement celles qui dérivent aléatoirement... Me donner le choix de répondre à cette question, puis, si j'en ai envie de trouver une réponse, me fait jaillir quelque chose de simple, un sentiment de possible, de quelque chose que j'ai bel et bien vécu, quand je l'oublie... Et ça revient ! Ça s'en va et ça revient... !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

J'étais souvent avec ma tante quand j'étais enfant. Sa coupe de cheveux me faisait rire. Elle était speed, un caractère spécial, mais elle aimait bouger avec moi. On marchait ensemble dans tous les marchés, car j'adorais trouver des vieilles bande-dessinées chez les bouquinistes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est que ça m'a rendu encore plus cool !

Thierry , 42 ans, Paris (France)

Être allé en Egypte, en 1992, avoir fait un périple avec des adolescents pendant 3 semaines, d’abord en touristes, sur un trajet planifié, puis free-style. Avoir nagé en mer Rouge et avoir vu des fonds matins, incroyables, lumineux et profonds. En me laissant flotter et en ouvrant les yeux, je découvrais le fond, immense et lointain, vue d’un gratte-ciel. J'avais presque le vertige de voir ces abysses du ciel de la surface, comme un humain transitant entre deux mondes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Le bonheur de faire silence quelques instants, car le silence est un prélude aux rires des enfants, ainsi que le spectre dans lequel se cachent toutes les musiques de quels pays que se soit.

Thierry , 40 ans, Luxembourg (Luxembourg)

Ce qui me rend heureux, c'est l'espace entre les gouttes de pluie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Faire les expositions sur le Happython m’ont donné de grandes joies : Lille, Jeumont, Paris, Lyon, Lausanne (avec le fameux « Saule heureux, qui a fini de pleurer... »). J’ai toujours apprécié la façon dont les personnes aidaient pour que le projet puisse se réaliser dans les meilleures conditions, cette chaleur qui était présente et diffuse… Ce sentiment de possible…

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Pour l’expo de Lille 2004, de nombreux jeunes Agents du Bonheur nous avait aidés, en faisant témoigner les habitants de leur ville et aussi pour l’organisation. A la fin de cette expérience qui a duré une année, l’un d’entre eux nous avait confié que cette expérience lui avait confirmé son envie de s’engager après le BAC pour suivre un cursus d’enseignant et également de s’intéresser à la vie de la cité. Selon lui, cette expérience lui avait permis de sentir qu’être responsable passait par la communication, l’apprentissage et le partage dans son lieu de vie.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Ce qui me rend heureux, c'est une bonne partie de rigolade !

Thierry , 20 ans, Bordeaux (France)

Avoir développé des amitiés profondes et réelles, avec des hommes et des femmes.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

La première fois que j’ai pensé à donner un nom à la fonction de ceux qui poseraient l’heureuse question du Happython, c’est «Agent du Bonheur» qui m’est venu. Ensuite, j’ai hésité à l’employer, n’était-ce pas un peu «too much» ? J’ai alors regardé le dictionnaire qui définissait ainsi le mot agent : «… dans un cadre général, un agent concerne tout phénomène physique qui a une action déterminante : les agents d’érosion, les agents pathogènes,…». Un agent du bonheur pourrait bien avoir une action déterminante sur le bonheur dans l’avenir, qui sait ? Je me suis dit : «OK, ça colle !» et l’Agent du bonheur a décollé et cette nouvelle association de mots a commencé à se répandre un peu partout !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Il y a pas mal de temps : jouer au poker menteur ! Plutôt sympa !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

A la première expo du Happython in situ, à la Poste de Pantin-les-Limites (véridique : joli nom !), entre Bobigny et Pantin, en octobre 1998, l’effet que donnaient les témoignages épinglés sur des fils à linge au dessus des guichets, et les posters, étaient vraiment drôles. Les clients avaient les yeux en l’air, étaient étonnés ou souriaient et semblaient plus paisibles. Les emploi-jeunes, à l’époque, avaient été supervisés pour, quand ils en avaient la possibilité, poser l’heureuse question, à celles et ceux qui faisaient la queue. A la fin de l’expérience qui a duré 15 jours, le responsable nous a dit qu’il avait perçu moins d’agressivité pendant cette période et nous a remerciés. Premier effet collectif du Happython !

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Avec le temps, considérer davantage mon mental puzzle comme un étrange rubixcube, et être plus délicat avec lui.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Recevoir un ami ce soir, de passage à Paris, que je n’ai pas vu depuis de nombreuses années.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Les cours de bande-dessinées à l’université Paris VIII, j’avais l’impression de comprendre enfin ce que je savais déjà en le ressentant. Les cours à Duperet, qui m’ont aidé à saisir la subtilité de quelques techniques graphiques.

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)

Quand les événements ne vont pas dans le sens de ce que je voudrais, ne pas en faire des caisses et me dire : "Ça, c'est ce que je voulais, mais... ce que je vais avoir sera sûrement mieux que ce que j'imaginais, et plus juste... Le vrai bonus est pour bientôt !"

Thierry , 48 ans, Noisy-le-Grand (France)
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