Ce qui me rend heureuse, c’est de jouer mes airs préférés de la passion selon Saint Matthieu au piano, les deux premiers mouvements de la dernière sonate de Schubert, quelques mouvements lents de sonates de Beethoven, dont l op 106, voir les premières neiges dans un endroit en altitude que je garde secret, y passer 10 jours seule, chercher du bois, tutoyer les nuages, marcher pieds nus sur la neige.
Panthéa , 42 ans, Paris (France)Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?
témoigne