Mes enfants me rendent heureuse.

Avoir une vraie famille.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'être en famille, d'avoir de l'occupation, d'avoir la santé et lorsqu'il y a des animations, ça met de l'ambiance.

La musique, la danse me rendent heureuse…

Ce qui me rend heureuse, c'est mon mari et mes enfants.

Me rendent heureuse : tout instant si précieux passé avec mes enfants, mes petits-enfants.

Découvrir New York !

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est la naissance de mon fils et il me rend toujours heureuse.

Une belle histoire d’amour de 3 ans !

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir fait de la couture pendant de nombreuses années et mon mariage avec mon filleul de guerre. Mes enfants, mes arrières-petits-enfants me rendent heureuse.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est la naissance de mes petits-enfants.

Mes enfants me rendent heureuse !

Une chose qui m'a rendue heureuse, c'est l'histoire d'un jeune homme obèse qui perdu plus la moitié de son poids grâce au soutien d'internautes anonymes.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir eu une vie de famille agréable.

Je me fais un plaisir de vous envoyer la réflexion drôle qu'a faite mon frère âgé de 7 ans en 1950. Mon père avait emmené mon jeune frère voir l'Arc de Triomphe et fasciné par cette flamme solitaire, au moment où on la ranime, mon frère s'écrie : Papa, est-ce que ça marche au pétrole ou à l'essence ? Nous en avons bien ri après et la phrase est restée légendaire dans la famille.

La lecture d'un roman qui s'intitule "we are all completely beside ourselves" de Karen Fowler, d'un K. Pancol, sur les relations hommes femmes.

Ce qui me rend heureuse, ce sont les fêtes et les repas de fin d'année.

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir mes enfants, mes petits-enfants et mes arrières-petits-enfants.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'aller au Restau-burger !

Les musées, les pages de romans et les plages en hiver...

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est quand j'ai su nager !

Un sourire sur un visage que je croise au hasard d'une promenade.

Des moments d'émotion, de rêve et même de nostalgie comme le départ des hirondelles à l'automne et leur retour en même temps que le premier coucou entendu un doux matin de printemps. Il y a aussi le souvenir d'un regard, d'un geste tendre, des jours heureux avec le compagnon choisi, ce qui permet d'apprécier encore les douceurs de la vie malgré la séparation définitive mais qui n'est qu'apparente.

Une chose qui m'a rendue toute chose, c'est la contemplation d'un lever du soleil en courant un matin.

Ce qui me rend heureuse, c’est d’aller danser tous les week-ends, de faire un puzzle et la lecture.

Mon fils, il sait me transmettre une certaine joie de vivre qui semble m'échapper dans le tourbillon de la vie active…