Ce qui les rend heureux... | Happython

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Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

Ce qui me rend heureux, c'est de voir ma copine dormir et m'endormir auprès d'elle.

Grégory , 19 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux, mes enfants.

Grégory , 28 ans, Saint-Genis-Pouilly (France)

Ce qui me rend heureux, c'est ma réussite professionnelle !

Grégory , 29 ans, Villefontaine (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'écouter Kyo en laissant des messages sur le Happython ou en écrivant à mes ami(e)s des mails super sympas !

Grégory , 12 ans, Sainte-Gemmes-d'Andigne (France)

Mon chat Mimine.

Grégory , 4 ans, Jeumont (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est d'avoir 2 points de plus que JB à mon applic d'analyse numérique (tout en rendant la même copie) !!!

Grégory , 20 ans, Puteaux (France)

De rentrer du boulot en écoutant à fond Ma Radio dans la voiture, arriver dans la maison où résonne Ma Radio dans le poste que j'ai oublié d'éteindre le matin quand je me débattais avec mon bol de céréales... et d'aller faire une commission dans les wc du 1er étage, d'ouvrir une petite trappe dans le placard et d'écouter Ma Radio tranquillement sur le trône !

Grégory , 24 ans, Gournay-sur-Marne (France)

C'est ta présence qui me rend heureux.

Grégory , 22 ans, Paris (France)

Faire du vélo.

Grégory , 5 ans, Jeumont (France)

D'être débile et d'avoir trouvé ce magnifique site...

Grégory , 25 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux, c’est d’être uni avec ma future femme. Être une équipe, être ensemble, c’est notre force. Uni par la vie.

Grégory , 34 ans, Sainte-Maxime (France)

Carte blanche au bonheur. Mon travail me rend si heureux que je pourrais le contempler pendant des heures.

Grégory , 26 ans, Levallois-Perret (France)

Le sourire d'une femme me rend heureux.

Grégory , 22 ans, Wahagnies (France)

La naissance de ma fille m'a rendu heureux.

Grégory , 38 ans, Lyon (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est de l'avoir rencontrée. Merci.

Grégory , 22 ans, Paris (France)

Jouer aux boules, aller au PMU et partir à la pêche les derniers jours d'IUT c'est ça qui me rend heureux.

Grégory , 14 ans, Marseille (France)

Ce qui me rend heureux, c'est d'aimer la même fille depuis 11 ans, et sans qu'elle ne m'aime. C'est pour toi Angélique F.

Grégory , 25 ans, Villeneuve-d'Ascq (France)

Mon bonheur est né d'un sourire d'une étoile filante qui est entrée chez moi... pour m'offrir la plus belle chose que l'on puisse avoir : l'Amour... Elle s'appelle Chouka, c'est ma source de bonheur. Vive mon étoile filante !

Grégory , 23 ans, Lille (France)

Ce qui me rend heureux, c'est l'amour !

Grégory , 25 ans, Courbevoie (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de me réveiller la nuit et de voir qu'à côté de moi, il y a la plus belle chose au monde : ma future femme !

Grégory , 20 ans, Wardrecques (France)

Le soleil, la santé.

Grégory , 17 ans, Vaulx-en-Velin (France)

Je suis très heureux, de la naissance de mon petit frère, au début c'était une petite soeur, mais je voulais pas et après ils ont dit que c'était un petit garçon et j'aimais bien.

Grégory , 8 ans, Mons-en-Baroeul (France)

Premiers pas sur les planches... Sentir le coeur s'emballer au fond d'une loge éclairée aux néons blafards. Croiser dans l'entrebâillement de la porte la foule qui se masse aux guichets. Inspirer, expirer pour retrouver un souffle normal. Faire le vide et y revenir de peur de s'y perdre. Serrer et se faire serrer par les bras amicaux des autres comédiens. Chanter fort, chanter faux mais chanter haut pour expulser la tension. Goûter à quelque chose de fort qui vous glisse dans l'intestin et rafraîchit l'incendie. Entendre le décompte des minutes par le maître de cérémonie. Et puis le moment où il faut arpenter le couloir sombre jusqu'à l'ouverture des portes vers la scène illuminée de milles feux, résonnant de musique, de cris et d'applaudissements... Le reste, c'est l'ivresse, les rires, le public, des histoires qui s'inventent, du bonheur qui s'égrène à la seconde. Premiers pas sur les planches d'un comédien du Théâtre de la Décade... Un match d'improvisation ça ne s'improvise pas, ce qui précède est pure folie, ce qui s'en suit n'est que joie et envie.

Grégory , 29 ans, Paris (France)

Tout s'est dessiné avec le temps. Au début, je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir. Elle était là pourtant, depuis le début, depuis toujours. Elle était bien là oui mais si loin. Si proche plutôt mais tellement inaccessible que les distances s'emportaient. Et puis, et puis il y avait la vie et tant d'autres joies à côté que, finalement, elle semblait importante, bien entendu, mais pas obligatoire. Pas totalement ni complètement indispensable. C'est arrivé rapidement ensuite avec l'adolescence. Avec ces moments où se noircissent idées et cahiers jetés pèle-mêle dans de grandes boîtes pas bien solides. C'est arrivé une nuit. Une nuit de janvier ou de février lorsque le ciel ouvre son coeur. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond, cette petite pointe d'humidité et cette belle odeur toute frêle et douce. J'ai écrasé la cigarette volée au paquet paternel sur le rebord de la fenêtre et, entrant ainsi dans la grande confrérie des faiseurs de mur, j'ai enfourché mon vieux vélo. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond et sur mon visage une petite pointe d'humidité mêlée à ce formidable goût de l'interdit. C'est uniquement l'énergie de l'instant qui poussait sur les pédales. Oui, je franchissais un petit interdit. Pas un gros car je ne partais boire et fumer toute la nuit en cachette. J'allais, seulement, la retrouver sur mon vélo. Et personne ne le savait. Pour la première fois je découvrais l'intimité. J'aurais pu y aller avant, nous nous étions déjà vu de bien nombreuses fois seuls ou avec des parents, des copains, etc. mais là nous avions rendez-vous. Il faisait nuit. De légers nuages troublaient parfois la douce clarté de la lune. Les champs dormaient. Je ne me souviens pas avoir croisé une seule voiture. Il était peut-être 2h ou 3h lorsque la nuit dort pleinement et entièrement. Au bout de la route, j'ai tourné à droite pour remonter un peu, sur 500 mètres à peine, vers le nord. La lune toujours donnait ses habits surnaturelles à ces heures de silences. Comprenant l'importance de l'événement, mon vélo même avait spontanément arrêté ses petits bruits. Ne restaient que le feulement du vent, le son caoutchouteux des roues et le long murmure de ma respiration. Je me garais sur son grillage. Un peu en retrait de la route, dans la noirceur des arbres, je laissais ici mon vélo et mes dernières attaches au monde réel. Le matin même, en cours d'histoire je crois, nous étions ailleurs et, surtout, j'étais à ce moment à mille lieux de penser que le soir même je me retrouverais ici, près d'elle, dans cet état d'esprit. Lorsque j'y repense maintenant, lorsque j'analyse ce processus, j'y vois l'historique cheminement d'une rencontre amoureuse. Oui, mais c'est facile aujourd'hui, presque dix ans après, de voir cela et de l'écrire. Sur le moment je ne savais pas, je ne pouvais pas et, surtout, je n'avais aucune envie de réfléchir à quoi que ce soit. En m'avançant dans l'ombre des grands arbres, je savais juste que je voulais être là, ce soir là à cet instant précis. Et pour tout l'or du monde je n'aurais pas voulu ne pas être simplement à ce rendez-vous. L'appel était venu si naturellement et avec une telle force sur ce rebord de fenêtre face aux étoiles que resister aurait été non seulement une énorme erreur mais, surtout, une gravissime insulte faite au seul plaisir de l'instant. Je me rappelle presque de chacune de ces secondes qui me séparaient d'elle alors. Des quelques mètres où mes pas s'enfonçaient doucement sur sa peau. La légère montée vers les étoiles, douce et parfaite me faisait voir sous un nouveau jour ses courbes pleines. Ses déliés et son âme surgissaient pour la première fois sur des notes inconnues. Et cette musique... Ses notes surnaturelles m'emportaient vers des ailleurs inconnus et insoupçonnés. Le vent lui-même me régalait de ses rythmes indomptables. J'avançais. J'avançais vers elle, vers cette inconnue si belle et si douce sous la clarté de la lune. En arrivant sur le sommet de la dune, je la découvrais. Je la redécouvrais sur ce nouveau jour, sous cette nouvelle lumière sur laquelle nous allions maintenant établir notre vie et cette relation si particulière. La plage s'étendait là, à droite et à gauche, le long de la côte dans son merveilleux dialogue avec la mer. Des franges de houle se propagaient ses sons miraculeux. J'étais là, seul. Seul avec elle, avec cette plage qui devenait à l'instant ma moitié. La partie de mon âme et de mes rêves sans lequel je ne pourrais pas vivre aujourd'hui. Je crois que, sans le savoir, je vivais ici ce que les autres, ce que l'humanité appelle tout simplement un moment de bonheur. Un moment de bonheur profond et vrai. Un simple moment de vie qui m'illumine à chaque retour, à chaque nouvelle rencontre. Il faisait froid. Froid et sec sur cette nuit belle et unique. Nuit auquelle je me raccrocherai lorsque viendra mon tour d'entendre, dans la nuit, un vélo glisser sur la route de ses rêves.

Grégory , 26 ans, Paris (France)

Quand la France est devenue championne du monde en 1998 !

Grégory , 24 ans, Gournay-sur-Marne (France)

Faire de la trottinette à la maison.

Grégory , 5 ans, Jeumont (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est quand je suis allé au parc d'attractions à Paris.

Grégory , 13 ans, Douai (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est tout simplement le fait d'avoir rencontré La femme de ma vie !!! Dieu que c'est bon d'être amoureux d'une femme géniale et ce à tous les niveaux possibles et imaginables !!! Elle est tout simplement parfaite ma petite bottine : Je l'aime plus que tout !!!

Grégory , 21 ans, Nantes (France)
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