Je suis heureuse, quand je laisse à l'autre la possibilité de m'étonner.

Aujourd'hui, ce qui m'a rendue heureuse, c'est hier.

Repenser aux farces de mon père, attendre les prochaines.

Il s'appelle John, il est fleuri, c'est un fauteuil !

Concevoir mon nouveau chez moi.

Hier, dans le métro, alors qu'il repartait de son arrêt, une dame a perdu l'équilibre. Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir eu le réflexe de tendre le bras pour la retenir.

Avoir appris à ne plus avoir peur de certains états, situations… savoir que je continuerai d’apprendre à ne plus avoir peur de certains autres états, situations…

Ce qui me rend heureuse, c’est d’être de celles et ceux que la pluie émerveille et rend heureux, j’ai l’impression d’avoir plus souvent l’occasion d’être heureuse que les autres !

Ce qui me rend heureuse, c'est que malgré tout, ça avance.

Faire des farces me rend heureuse.

Ce qui me rend heureuse, c’est d’être témoin de scènes d’espoir.

Ce qui me rend heureuse, c’est quand on me demande conseil et qu’on a l’air satisfait de ma réponse.

Je suis heureuse, quand j'ai deux neurones qui se touchent et que je comprends quelque chose.

J'ai fait l'effort d'essayer de comprendre mes comportements vis à vis de l'autre. Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir essayé de faire preuve d'honnêteté intellectuelle.

Je suis heureuse, quand je m’amuse avec ma tête à moi, quand je laisse mes petits nuimages mentaux gambader, galoper, zigzaguer, virevolter, tourbillonner, bouillonner, m’emporter…

Ce qui me rend heureuse, c’est quand on me demande un service que je suis capable de rendre.

Ce qui me rend heureuse, c'est les espaces ouverts à créé-emplir.

Imaginer que je reverrai Egbert un jour et que je pourrai lui demander pardon.

Un p’tit bouquet de fleurs des champs que j’ai cueillies après la cantine pour faire joli dans mon bureau !

Les relations fraternelles me rendent heureuse.

Me promener dans des grandes villes que je connais bien, ou pas, ou peu, me rend heureuse.

Les pieds de mon amant. Non je n’ai pas rougi en disant cela ! Et les pieds qu’il me donne aussi, forcément… bon à peine rosi alors…

Je suis heureuse, quand j’arrive à laisser de la place à mon gros cœur.

Ce qui me rend heureuse, c’est d’être témoin de scènes de bonheur.

Les giboulées !

John and other friends.

Le jour où j’ai décidé de quitter « l’homme de ma vie ».

Faire du vélo le long du Rhône, imaginer un instant pouvoir filer avec lui jusqu’à la mer… bon, la piste cyclable, si elle est pas finie d’ici tôt… ben j’prendrai un pédalo !