J’ai vécu une période de bonheur quand j’étais en Californie, c’était très exaltant, à l’époque de la contre-culture. Il y avait cet intérêt dans la recherche du bonheur, des fêtes collectives, une plage merveilleuse. J’étais dans un institut de recherches en biologie, j’étais payé pour apprendre, j’avais des relations très aimantes, j’avais la compagnie d’amis très chers. J’avais l’impression de m’ouvrir, d’apprendre, de vivre.

Ce qui me rend heureux, c'est d'avoir un chien Alioss, avoir une maman, avoir un quad, de pratiquer le foot et je suis content d'avoir une sœur.

Ce qui me rend heureux, c’est de voir des enfants heureux. J’aime les voir avec un grand sourire et quand ils jouent. J’aime quand les gens arrivent à trouver du bonheur et qu’ils oublient leurs problèmes.

Pour moi, le bonheur est une conjonction entre l’amour et la création ou la production, où j’exprime une idée, une pensée. Cela existe quand il y a un état de combustion amoureuse en parallèle avec une combustion de l’envie d’écrire. C’est un double entretien.