Ce qui me rend heureux, c'est de prendre ma guitare, grattouiller un peu, et entendre les gens fredonner la chanson que j'essayais de jouer.

Ce qui me rend heureux, c'est le bonheur de mes amis, en avoir plein à qui je tiens et à qui j'aime faire plaisir.

Voir un sourire.

Ce qui me rend heureux, c'est de revoir ma mère après trois mois d'absence.

Enfin la chance d'avancer. Plus je donne, plus je reçois, une des grandes lois de la vie. Je donne de l'amour, j'en reçois en retour. Quand la haine obstrue ma vue, je n'ai qu'à changer de point de vue. Je me donne enfin la chance d'avancer.

Cette journée d'anniversaire.

Les premiers baisers.

Quand mon pote Ben me saute dessus tellement il est content de me voir, et manquer de me faire tomber en me donnant l'accolade !!!

Ce qui me rend heureuse, c'est de sentir mon âme exister à travers mon corps.

Ce qui me rend heureuse, c'est de faire l'amour, et que le mec, il m'offre des fleurs, sa totale attention, qu'il m'appelle et qu'on passe ensemble les vacances.

Ce qui me rend heureuse, c'est aujourd'hui, là, maintenant, à l'instant.

Quand je suis amoureuse, et que j'ai un copain avec qui ça se passe vraiment bien, je suis heureuse.

Réitérer mes meilleurs souhaits aux Julie pour une très Bonne Fête, à toutes les Julie, surtout les Happythoniennes, et surtout Julie d'Aubagne ! Passe(z) une très bonne journée demain pour votre fête !!

Ce qui me rend heureuse, c’est les voyages, la danse, la musique et les sorties entre amis.

Quand Nicolas-stagiaire commence à se lâcher et avancer ! Ouf !

Ce qui me rend heureux, ce sont les femmes.

Je suis heureuse quand je danse...

Ce qui me rend heureuse, c’est d’avoir une famille comme j'ai, c’est formidable, même si elle est pas parfaite ! Ce qui me rend heureuse, c’est l'amour et la famille !!!

Mon bonheur, c'est de penser que je vais me marier quand je serai grand.

Regarder mes enfants dormir, blottis l'un contre l'autre.

Ce qui me rend heureuse, le rire, quand mes filles m’appellent "maman" chacune à leur manière.

Mmh… M'é-ti-rer ! Wahoo, quel bonheur simple !

Ce qui me rend heureuse : faire l’amour.

Ce qui me rend heureuse : ma famille, manger, les chaussures, réussir quelque chose de compliqué, les animaux,…

Ce qui me rend heureuse, c'est d’avoir quelqu'un sur qui compter.

Quand je regarde le sketch de Brice de Nice - Ultrabrice : - Tu sais Natachatte, tu es comme le H de Hawaï... - C'est à dire ? - Tu sers à rien, j't'ai cassé !! Allez tu viens le meuble ! A chaque fois, je suis comme un dingue !

La journée où j'ai été la plus heureuse, c'est celle de mon mariage, j'avais mon mari à moi et je voyais dans ses yeux, qu'il était heureux...

C'est me réveiller dans la lumière après une bonne nuit de sommeil, l'odeur du café et le bien-être de la douche, c'est rentrer dans la vie sans avoir mal nulle part, jusqu'au soir, pour me rendormir avec les petits bonheurs du jour.

Les poèmes de Maléna.

Pas besoin de réfléchir longtemps, car le bonheur est fait de petites choses au quotidien. D'ailleurs, je me suis dis hier que j'allais m'acheter demain un carnet pour noter et y mettre une photo de tous mes petits bonheurs quotidiens... Voici la liste de mes petits bonheurs d'hier : lire quelques instants sous ma couette après m'être réveillée, prendre mon petit déjeuner sur mon balcon, arroser mes plantations et me dire que c'est beau la nature quand même quand ça pousse (no comment), parler à des gens que j'aime au téléphone, cuisiner et recevoir une amie pour dîner, écouter de la musique que j'aime et qui me fait vibrer…

Tout s'est dessiné avec le temps. Au début, je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir. Elle était là pourtant, depuis le début, depuis toujours. Elle était bien là oui mais si loin. Si proche plutôt mais tellement inaccessible que les distances s'emportaient. Et puis, et puis il y avait la vie et tant d'autres joies à côté que, finalement, elle semblait importante, bien entendu, mais pas obligatoire. Pas totalement ni complètement indispensable. C'est arrivé rapidement ensuite avec l'adolescence. Avec ces moments où se noircissent idées et cahiers jetés pèle-mêle dans de grandes boîtes pas bien solides. C'est arrivé une nuit. Une nuit de janvier ou de février lorsque le ciel ouvre son coeur. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond, cette petite pointe d'humidité et cette belle odeur toute frêle et douce. J'ai écrasé la cigarette volée au paquet paternel sur le rebord de la fenêtre et, entrant ainsi dans la grande confrérie des faiseurs de mur, j'ai enfourché mon vieux vélo. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond et sur mon visage une petite pointe d'humidité mêlée à ce formidable goût de l'interdit. C'est uniquement l'énergie de l'instant qui poussait sur les pédales. Oui, je franchissais un petit interdit. Pas un gros car je ne partais boire et fumer toute la nuit en cachette. J'allais, seulement, la retrouver sur mon vélo. Et personne ne le savait. Pour la première fois je découvrais l'intimité. J'aurais pu y aller avant, nous nous étions déjà vu de bien nombreuses fois seuls ou avec des parents, des copains, etc. mais là nous avions rendez-vous. Il faisait nuit. De légers nuages troublaient parfois la douce clarté de la lune. Les champs dormaient. Je ne me souviens pas avoir croisé une seule voiture. Il était peut-être 2h ou 3h lorsque la nuit dort pleinement et entièrement. Au bout de la route, j'ai tourné à droite pour remonter un peu, sur 500 mètres à peine, vers le nord. La lune toujours donnait ses habits surnaturelles à ces heures de silences. Comprenant l'importance de l'événement, mon vélo même avait spontanément arrêté ses petits bruits. Ne restaient que le feulement du vent, le son caoutchouteux des roues et le long murmure de ma respiration. Je me garais sur son grillage. Un peu en retrait de la route, dans la noirceur des arbres, je laissais ici mon vélo et mes dernières attaches au monde réel. Le matin même, en cours d'histoire je crois, nous étions ailleurs et, surtout, j'étais à ce moment à mille lieux de penser que le soir même je me retrouverais ici, près d'elle, dans cet état d'esprit. Lorsque j'y repense maintenant, lorsque j'analyse ce processus, j'y vois l'historique cheminement d'une rencontre amoureuse. Oui, mais c'est facile aujourd'hui, presque dix ans après, de voir cela et de l'écrire. Sur le moment je ne savais pas, je ne pouvais pas et, surtout, je n'avais aucune envie de réfléchir à quoi que ce soit. En m'avançant dans l'ombre des grands arbres, je savais juste que je voulais être là, ce soir là à cet instant précis. Et pour tout l'or du monde je n'aurais pas voulu ne pas être simplement à ce rendez-vous. L'appel était venu si naturellement et avec une telle force sur ce rebord de fenêtre face aux étoiles que resister aurait été non seulement une énorme erreur mais, surtout, une gravissime insulte faite au seul plaisir de l'instant. Je me rappelle presque de chacune de ces secondes qui me séparaient d'elle alors. Des quelques mètres où mes pas s'enfonçaient doucement sur sa peau. La légère montée vers les étoiles, douce et parfaite me faisait voir sous un nouveau jour ses courbes pleines. Ses déliés et son âme surgissaient pour la première fois sur des notes inconnues. Et cette musique... Ses notes surnaturelles m'emportaient vers des ailleurs inconnus et insoupçonnés. Le vent lui-même me régalait de ses rythmes indomptables. J'avançais. J'avançais vers elle, vers cette inconnue si belle et si douce sous la clarté de la lune. En arrivant sur le sommet de la dune, je la découvrais. Je la redécouvrais sur ce nouveau jour, sous cette nouvelle lumière sur laquelle nous allions maintenant établir notre vie et cette relation si particulière. La plage s'étendait là, à droite et à gauche, le long de la côte dans son merveilleux dialogue avec la mer. Des franges de houle se propagaient ses sons miraculeux. J'étais là, seul. Seul avec elle, avec cette plage qui devenait à l'instant ma moitié. La partie de mon âme et de mes rêves sans lequel je ne pourrais pas vivre aujourd'hui. Je crois que, sans le savoir, je vivais ici ce que les autres, ce que l'humanité appelle tout simplement un moment de bonheur. Un moment de bonheur profond et vrai. Un simple moment de vie qui m'illumine à chaque retour, à chaque nouvelle rencontre. Il faisait froid. Froid et sec sur cette nuit belle et unique. Nuit auquelle je me raccrocherai lorsque viendra mon tour d'entendre, dans la nuit, un vélo glisser sur la route de ses rêves.

Ce qui m’a rendue heureuse, c’est mon diplôme, aussi l’achat de ma voiture et un voyage en amoureux avec mon ex !

Manger des chips me rend heureuse !

J'ai été très heureuse, le soir du nouvel an de cette année. Pour la première fois, j'étais seule chez moi. Je pensais passer une triste soirée, bien que je ne cessais de me dire que c'était une soirée comme les autres. C'est un site de rencontres qui est venu à mon secours. J'ai fait la connaissance de Philippe, un mec génial à l'humour décapant. Qu'est-ce que j'ai ri ! Ensuite, j'ai tapé la causette avec Lionel. Minuit approchant, nous avons décidé de nous téléphoner. Et là, vrai de vrai : il était dans mon Cantal natal ! Et nous sommes des colocataires de la même maternité ! J'ai vécu un grand moment de solidarité dans ce partage des solitudes. J'étais heureuse car en lien avec un autre être humain. Les relations humaines me rendent heureuse.

Finir un puzzle, me pelotonner devant un feu de cheminée qui crépite, danser sur les tables dans un mariage !

Moi, ce qui me rend heureuse, c'est l'Amour Et le bonheur de mes enfants !

Ce qui me rend heureuse, c’est une robe qui me va parfaitement, le baiser de mon neveu me serrant dans ses bras, l'émotion de ma mère à la fête des mères. Des toutes petites choses.

Mon site internet sur lequel je trouve toutes les définitions médicales qui me manquent !

Regarder mon chat jouer à la balle rebondissante j'ai l'impression d'être à l'intérieur d'une planche de Gaston Lagaffe.

Voir des enfants jouer ensemble me rend heureuse. Rien n'est plus beau que l'enfance et son innocence.

Quand j'ai gagné la finale d'un grand tournoi de foot, j'avais 7 ans.

Ce qui m’a rendue heureuse, c’est de quitter mon mari !

Le bonheur à deux me rend heureuse.

Croiser un regard franc, pétillant de vie, troublant.

Voir chaque jour grandir mes enfants en bonne santé

Ce qui me rend heureux, les jolies femmes !

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir fait un gâteau d'anniv à mes zouzous, gros comme une pièce montée, avec plein de pshiiit !!!

Ce qui me rend heureuse, c'est la magie des sourires, une graine qui a germée, la beauté du monde.

Ce qui m'a rendu heureux, c'est d'avoir communiqué avec joie avec beaucoup de personnes.

Ce qui me rend heureux, ma vie, mes enfants.

Isabelle, penser à toi me rend heureux...

Ce qui me rend heureux, c'est le regard d'une femme et son sourire.

Ce qui me rend heureuse, c'est de savoir que ma vie va continuer de s'embellir. Le crescendo est mis en marche.

Ce qui me rend heureuse, c'est que je suis bien en ce moment avec ma petite chérie et ce qui m'a rendue heureuse, c'est que je suis mieux, après m’être avouée mon homosexualité.

Échanger, partager, voyager… j'apprécie autant le calme et la beauté de la nature que l'énergie des grandes villes…

Ma chatte a eu des petits et lors de leur naissance ça a été très intense pour moi

Je suis heureuse, que mon amour ait dépassé mon orgueil.

Ce qui me rend heureuse, c'est de savoir que mon fils m'attend à Tokyo pour me faire partager sa passion du Japon.

Retrouver un objet de mon enfance, avoir ma soeur au téléphone, organiser une fête ou une surprise, voir un film, et s'empiffrer de pop-corn.

Ce qui me rend heureuse, là ? Que ma fille de 16 ans soit partie avec ses amies et m'ait préparé une quiche !

Les gens qui ne se la pètent pas.

Ce qui me rend heureuse, c’est défiler c’est une de mes passions.

Ce qui me rend heureuse, c’est un beau paysage...

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir le monde heureux autour de moi

J'ai rencontré plein de personnes super sympas.

Ce qui me rend heureuse, est de sentir le vent frais sur mon visage le matin quand j'ouvre la fenêtre.

Le moment où j'ai été heureuse, c'est lorsque j'ai rencontré ma soeur.

Une rencontre inattendue : à l'entracte d'un opéra, une personne d'un certain âge m'aborde (j'étais assise à la place de son amie). Elle m'apprend qu'elle a 80 ans et se met à me parler de son histoire, de ses passions et aussi de ses tristesses. Elle était à la fois touchante et drôle aussi. "Il faut faire des petits pas comme la java"- "Il faut bien s'occuper pour ne pas sombrer". Le plus drôle, c'est qu'elle m'a attendue à la sortie pour continuer de discuter. Je l'ai ramenée chez elle. J'ai adoré ce moment.

Ce qui me rend heureuse, c'est de te voir rentrer mon amour, dans notre petit nid douillet car je me sentais vraiment seule sans toi à la maison. Vivement ce soir, car ce bonheur arrive chaque jour.

Mes enfants !

Moi, ce qui me rend heureuse, c’est que je suis mannequin top model pour une agence de trois couturiers, c’est super !

Moi, ce qui me rend heureuse, c'est de voir mes filles s'épanouir et me rendre tout l'amour que je leur donne chaque jour !

Ce qui me rend heureuse, c’est la naissance de mon fils. Cela a été une très grande joie pour moi comme pour toutes les mères.

Je crois que le moment le plus fort que j'ai vécu en terme de bonheur est l'adoption de mes 2 enfants.

Discuter de ma journée avec quelqu'un qui m'écoute sans me juger.

Se coucher en se disant que la journée a été belle et riche en émotions.

Ce qui me rend heureuse, c'est mon nounours polaire.

Avoir vu, ce soir, des visages de personnes SDF s'illuminer aux moments de recevoir un simple sandwich et un sourire !

Regarder mon lapin faire sa toilette. Avec ses pattes blanches, on dirait qu’il se nettoie le museau avec un gant de toilette et ça me fait rire.

Ce qui m'a rendu heureux, dernièrement : c'est la naissance de mon premier enfant, Ewan. Il est né le 11 novembre, une date on ne peut plus pacifiste. Il est né à terme, il grandit vite et bien, commence à babiller quelques onomatopées, et c'est un vrai bonheur de simplement le voir tous les jours. Quelle merveille !!!

De passer un bon moment en famille.

L'évènement qui m'a rendue très heureuse, c'était hier le jour de mon anniversaire, quand mon fils qui habite au loin m'a annoncé la naissance de leur bébé, qui n'était prévue que pour le 12 avril. En fait, ça a été mon plus beau cadeau d'anniversaire.

Ce qui me rend heureuse, c'est de rouler vite sur l'autoroute avec un bon morceau de Led Zeppelin.