Ce sont mes deux enfants qui me rendent heureuse et la vie en générale… ma rencontre avec leur père m'a rendue heureuse à un moment, ensuite il y a eu la naissance de mes enfants et pour terminer une amitié très sincère qui dure depuis un an.

Enfant, aller avec mon frère Alexis dans un pré d'un voisin (sans demander l'autorisation) pour caresser des chevaux. Passer sous des barbelés, courir dans la neige, rire.

Actualiser mes pages, histoire de voir s'il y a le nombre, en haut, qui change…!

Rire en me souvenant que j'ai offert le fer à friser de ma mère à ma maîtresse ! (Oui bon… C'était de bon coeur, et je n'avais pas encore de paie… C'était pour faire un cadeau, je savais pas que ma mère serait pas contente que je veuille faire un cadeau moi… Hihihi)

Consulter mon tél pendant le cours, juste pour voir la fin du long message dont j'avais eu le début !

Ce qui me rend heureuse, c'est de voir mon chéri sourire en lisant le Happython chaque jour.

Je suis heureuse, quand je vois toute ma famille réunit autour d'une table, et que éclat de rire et brouhaha anime la pièce.

Partager des moments avec mes nièces, redécouvrir avec eux la simplicité de l'instant me rend heureuse.

Le bonheur, c'est être en vie !

Ce qui me rend heureuse, c'est de devoir être heureuse, quoi de tel pour être heureux que de penser que c'est le moteur de sa vie ?

Être bien à l'heure. Sauf dans certaines circonstances où ça m'amuse beaucoup plus d'être en retard !

C'est bête à dire mais ce qui me rend heureux, c'est d'être heureux ! Je suis heureux en ce moment parce que je me dis que tout va bien, je ne me pose plus de barrières et j'élude les problèmes. Ce qui m'a rendu heureux, c'est une femme...

Avoir pu construire une famille et avoir un enfant. rien que de très banal en somme, mais c'est ce qui a fait mon bonheur il fût un temps.

Être anonyme.

Avoir le choix et me surprendre à me dire : « Tiens, qu’est-ce que je pourrais ressentir et penser, là ? »… Jusqu’à ce que je me rende compte que… j’ai déjà fait le choix de me poser cette question (ce qui est un bon début !).

Ce qui me rend heureuse, c'est d'aller me promener à la montagne et de me retrouver en accord avec les éléments, entendre les oiseaux qui chantent, entendre le ruisseau qui coule.

Gagner bien ma vie et pouvoir en profiter !

Quand je vois des portraits en photographie, j'aime voir les expressions, les marques, le regard. Ça m'interroge sur la personne, me fait imaginer ce qu'elle peut être, sa vie...

Ce qui me rend heureux, c'est d'être bientôt papa !

Dormir, une sieste sous un arbre.

Ce qui me rend heureuse, c’est le soleil la mer et les beaux mecs !

Je peux trouver le bonheur dans beaucoup de choses. Mais je dirais en priorité mes enfants, la danse, et le sport.

L'amour d'une femme me rend heureux.

Ce qui me rend heureuse très souvent... Les bonnes petites bouffes !

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'avoir été ta princesse et la maman chérie doudou coco, l'amour de ton fils.

J'aime m'arrêter parfois quelques instants, regarder les gens qui m'entourent et me dire que j'ai de la chance de les avoir trouvés et d'être leur amie.

Avoir chatté avec Karine aujourd'hui.

Ce qui me rend heureux, c’est une franche partie de rigolade avec mes collègues !

Les vacances !

Ce qui me rend heureux, c'est d'être amoureux, tous les jours que Dieu fait, c'est d'en être enivré, d'un tout petit rien parfois, me procure tant de joie, c'est quand même dingue en fait, toute cette beauté.

Ma famille !

Profiter d'une plage libre en Turquie pendant quelques heures...

Ce qui me rend heureuse, c’est la musique, le sport, la nature, les sorties, et les voyages.

Ce qui me rend heureuse, c’est le matin mais ce qui me rend particulièrement heureuse, c'est un sourire, dans la rue.

Préparer le dîner pour recevoir mes amies.

D'avoir enfin un vrai boulot...

Je suis heureuse quand je vois mes proches heureux.

Être heureux, c'est savoir définir son bonheur, savoir pardonner. Ce qui m'a rendue heureuse, c’est mon insouciance lors de mon enfance et adolescence.

Je suis très heureuse, de ne pas avoir d'enfant et je ferai tout pour éviter d'en avoir. Enfin débarrassée de l'amour et de ses tracas, je vis enfin ! Quel calme ! Quelle paix !

Ce qui me rend heureuse, c’est d’arriver à faire ce que je veux dans les études, ainsi que dans la vie active, c’est-à-dire que j’ai un appart, une chienne... Voilà mon bonheur !

Ce qui me rend la plus heureuse, c'est de me dire que je suis encore jeune, et que j'ai toute la vie devant moi (du moins je l'espère) pour profiter un maximum.

Ce qui me rend heureuse ? A l'impromptu... une balade en vélo dans la campagne, l'été, ça c'est un grand bonheur. Voir une zygène de Gavarnie (un papillon assez spécial). S’entendre dire je t'aime par une blondinette de 4 ans.

Le rien autour de moi me rend heureuse, le vide, me sentir connectée avec ce qui est autour...

Tout s'est dessiné avec le temps. Au début, je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir. Elle était là pourtant, depuis le début, depuis toujours. Elle était bien là oui mais si loin. Si proche plutôt mais tellement inaccessible que les distances s'emportaient. Et puis, et puis il y avait la vie et tant d'autres joies à côté que, finalement, elle semblait importante, bien entendu, mais pas obligatoire. Pas totalement ni complètement indispensable. C'est arrivé rapidement ensuite avec l'adolescence. Avec ces moments où se noircissent idées et cahiers jetés pèle-mêle dans de grandes boîtes pas bien solides. C'est arrivé une nuit. Une nuit de janvier ou de février lorsque le ciel ouvre son coeur. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond, cette petite pointe d'humidité et cette belle odeur toute frêle et douce. J'ai écrasé la cigarette volée au paquet paternel sur le rebord de la fenêtre et, entrant ainsi dans la grande confrérie des faiseurs de mur, j'ai enfourché mon vieux vélo. Il faisait froid. Froid et sec avec toujours, au fond et sur mon visage une petite pointe d'humidité mêlée à ce formidable goût de l'interdit. C'est uniquement l'énergie de l'instant qui poussait sur les pédales. Oui, je franchissais un petit interdit. Pas un gros car je ne partais boire et fumer toute la nuit en cachette. J'allais, seulement, la retrouver sur mon vélo. Et personne ne le savait. Pour la première fois je découvrais l'intimité. J'aurais pu y aller avant, nous nous étions déjà vu de bien nombreuses fois seuls ou avec des parents, des copains, etc. mais là nous avions rendez-vous. Il faisait nuit. De légers nuages troublaient parfois la douce clarté de la lune. Les champs dormaient. Je ne me souviens pas avoir croisé une seule voiture. Il était peut-être 2h ou 3h lorsque la nuit dort pleinement et entièrement. Au bout de la route, j'ai tourné à droite pour remonter un peu, sur 500 mètres à peine, vers le nord. La lune toujours donnait ses habits surnaturelles à ces heures de silences. Comprenant l'importance de l'événement, mon vélo même avait spontanément arrêté ses petits bruits. Ne restaient que le feulement du vent, le son caoutchouteux des roues et le long murmure de ma respiration. Je me garais sur son grillage. Un peu en retrait de la route, dans la noirceur des arbres, je laissais ici mon vélo et mes dernières attaches au monde réel. Le matin même, en cours d'histoire je crois, nous étions ailleurs et, surtout, j'étais à ce moment à mille lieux de penser que le soir même je me retrouverais ici, près d'elle, dans cet état d'esprit. Lorsque j'y repense maintenant, lorsque j'analyse ce processus, j'y vois l'historique cheminement d'une rencontre amoureuse. Oui, mais c'est facile aujourd'hui, presque dix ans après, de voir cela et de l'écrire. Sur le moment je ne savais pas, je ne pouvais pas et, surtout, je n'avais aucune envie de réfléchir à quoi que ce soit. En m'avançant dans l'ombre des grands arbres, je savais juste que je voulais être là, ce soir là à cet instant précis. Et pour tout l'or du monde je n'aurais pas voulu ne pas être simplement à ce rendez-vous. L'appel était venu si naturellement et avec une telle force sur ce rebord de fenêtre face aux étoiles que resister aurait été non seulement une énorme erreur mais, surtout, une gravissime insulte faite au seul plaisir de l'instant. Je me rappelle presque de chacune de ces secondes qui me séparaient d'elle alors. Des quelques mètres où mes pas s'enfonçaient doucement sur sa peau. La légère montée vers les étoiles, douce et parfaite me faisait voir sous un nouveau jour ses courbes pleines. Ses déliés et son âme surgissaient pour la première fois sur des notes inconnues. Et cette musique... Ses notes surnaturelles m'emportaient vers des ailleurs inconnus et insoupçonnés. Le vent lui-même me régalait de ses rythmes indomptables. J'avançais. J'avançais vers elle, vers cette inconnue si belle et si douce sous la clarté de la lune. En arrivant sur le sommet de la dune, je la découvrais. Je la redécouvrais sur ce nouveau jour, sous cette nouvelle lumière sur laquelle nous allions maintenant établir notre vie et cette relation si particulière. La plage s'étendait là, à droite et à gauche, le long de la côte dans son merveilleux dialogue avec la mer. Des franges de houle se propagaient ses sons miraculeux. J'étais là, seul. Seul avec elle, avec cette plage qui devenait à l'instant ma moitié. La partie de mon âme et de mes rêves sans lequel je ne pourrais pas vivre aujourd'hui. Je crois que, sans le savoir, je vivais ici ce que les autres, ce que l'humanité appelle tout simplement un moment de bonheur. Un moment de bonheur profond et vrai. Un simple moment de vie qui m'illumine à chaque retour, à chaque nouvelle rencontre. Il faisait froid. Froid et sec sur cette nuit belle et unique. Nuit auquelle je me raccrocherai lorsque viendra mon tour d'entendre, dans la nuit, un vélo glisser sur la route de ses rêves.

Ce qui me rend heureuse... ? Drôle de question ! Plein de choses peuvent me rendre heureuse... La naissance de mes enfants m'a rendue heureuse, une balade sous le soleil sur les bords de Seine, main dans la main est un petit bonheur aussi ! La vie n'est faite que de petits instants de bonheur qui rendent heureux, telle est ma vision du bonheur...

Mon plus beau cadeau, je le dois à ma fille Milena, née le 11 octobre 2002, qui a fait entrer en moi le bonheur suprême, l'amour entre un enfant et sa maman.

Jardiner, aller en Bretagne, et aller à la mer.

Ce qui me rend le plus heureux, dans la vie c'est de voir Marie, 2 ans et demi, dormir en boule comme un hérisson.

Ce qui m a rendue heureuse, ou me rend heureuse, ce sont mes enfants.

Mon père nous a quittés il y a 4 ans, et c’est ma maman qui me rend heureuse !

Ce qui me rend heureuse, c’est mon métier : transmettre et partager !

Me réveiller à 4 heures du mat, puis mettre Intouchables en fond et regarder le soleil se lever.

Il fait chaud, il fait nuit, je suis belle, je porte une robe transparente, je suis avec mon chéri dans un restau thaï, menu : soupe de crevettes à la citronnelle puis crabe... Je suis très heureuse…

La naissance de mon fils m'a rendue heureuse.

Cuisiner pour mes amis.

Ce qui me rend heureuse, c'est d'être entourée des gens que j'aime.

Mon enfant, l’amour, la vie !

Les femmes me rendent heureux.

Voir que les messages se bousculent au portillon !

Les sorties, les randonnée, le ciné et les voyages.

Ce qui me rend heureuse, ce sont des choses très simples… Etant épicurienne, un bon repas par exemple, surtout quand il se termine par un délicieux dessert au chocolat. C’était le cas hier soir, une onctueuse mousse au choco !!! Je suis heureuse lorsque je me sens aimée aussi, et lorsque je vois le sourire d’un inconnu, ou pas, d’ailleurs.

C'est de réussir qui me rend heureux.

Ce qui me rend heureux ? De vivre, tout simplement !

Le bonheur, pour moi, consiste à me régaler de banane-plantain avec du poisson frit (rires) car je suis loin de mon pays (Cameroun) et je n'ai pas souvent l'occasion d'en manger. Bisous à tous !

Ce qui me rend heureuse, c'est d'avoir cours pendant 5 heures le mardi après-midi avec mon beau prof de chimie.

Ce qui me rend heureux, c'est de connaître plein de personnes sur le net et de perpétuellement se faire de nouveaux amis que j'aime rencontrer réellement.

Un fou rire partagé, moment de partage émotionnel qui me rend heureuse.

Un joli sourire d'un bel inconnu croisé au hasard.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'être guérie.

L'amour et beaucoup de choses peuvent me rendre heureuse, tout est une question de moment... la vie, quoi !

J’étais dans un bus, il faisait beau, je roulais le long d’un fleuve...

Trouver un écho, une résonance dans un échange avec une personne inconnue, dont le parcours de vie semble a priori très différent du mien.

Cuisiner avec des produits frais et que du fait maison, le chant, la broderie, écouter de la musique.

Ce qui me rend heureuse ? C'est mon fils.

Ce qui m'a rendue heureuse, c'est d'aller au concert d'Eminen !

D'être allée voir Sébastien le vendeur de musique, et d'avoir appris qu'il est du mois de mai lui aussi ! Question anecdotes, je trouve qu'il y en a de plus en plus ! Et ce n'est pas forcément mal !

La naissance de ma fille.

Jouer au tarot en famille.

Les gens me disent souvent que je suis très humaine, et ça me touche.

Quand je souris, je suis heureuse.

Se souvenir au réveil du plaisir de se retrouver à deux, d’avoir ri et d’avoir partagé des instants de tendresse : se dire était-ce un rêve et se faire confirmer une douce et joyeuse réalité.

Ma fille me rend heureuse chaque jour !

Recevoir un mail d'une personne chère qui est à l'autre bout du monde...