Ce qui les rend heureux... | Happython

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Pour retrouver les messages heureux de 1998 à aujourd'hui, ceux avec le mot "chat", "enfant" et "carpaccio", ceux de votre ville, ceux de Victor, de Jocelyne ou de Babouchka, ceux des plus de 90 ans, ceux d'Afrique ou d'Asie, bref pour rechercher les moments heureux du monde entier et de tout le monde à toutes les époques, c'est ici !

Ce qui les rend, ou les a rendu, heureux(se) ?

Quand je fais des rimes Je suis le plus heureux J’atteins alors la cime Du plus parfait bonheur Je suis de bonne humeur

Roger , 54 ans, Rouen (France)

La naissance de mon fils m'a rendu heureux. J'avais 20 ans ! Avoir un enfant, en plus un garçon, à cet âge, je crois que rien n'est plus beau !!!

Roger , 50 ans, Lyon (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de constater dans le Happython qu'il y a des personnes qui savent apprécier des moments particuliers de la vie, et que ces moments les rendent heureuses, passant outre certaines situations malheureuses de ce monde.

Roger , 66 ans, Paris (France)

Mes supers voyages en Inde.

Roger , 48 ans, Mennecy (France)

Avoir rencontré cette femme merveilleuse et vivre depuis ensemble un amour fusionnel et passionnée.

Roger , 42 ans, Neuilly-Plaisance (France)

Ce qui m'a rendu heureux, c'est de mettre mes sens en éveil pour des actions très simples du quotidien. Ainsi, malgré mes problèmes, j'ai pris conscience que j'ai tout pour être heureux dans l'ici et maintenant.

Roger , 31 ans, Paris (France)

Ce qui me rend heureux d’abord : le fait que mon pays s’est retrouvé la paix et surtout, la joie de vivre.

Roger , 37 ans, Brazzaville (République du Congo)

Ce qui me rend heureux, c'est l'amour de mon fils !

Roger , 50 ans, Evry (France)

Faire du cheval au galop dans la forêt de Fontainebleau.

Roger , 45 ans, Evry (France)

Ce qui me rend heureux, c'est de sentir l'envie de ma femme monter, monter en même temps que la mienne, puis de partager un moment d'intensité si grande que l'on se sent légers, unis, heureux de ce sentiment de plénitude qui fait que pendant quelques instants, je me sens éternel. Oui, l'amour donne du bonheur !

Roger , 54 ans, Lyon (France)

Raymond Radiguet, au début du XIXème siècle, a écrit : "Le bonheur, c'est comme la santé, on s'en aperçoit quand on les a perdus". Aussi, en faisant un rapide bilan des moments heureux, importants ou non, lointains ou plus rapprochés, quelle que soit leur origine, je voudrais surtout pouvoir rester positif le plus souvent possible, et, sans rejeter le passé et se lamenter inutilement sur la perte des jours, à jamais disparus essayer de tirer parti de ce que m'offre le présent, tout en me disant, lors de périodes plus moroses : "Demain est un autre jour !". L'essentiel est de ne pas trop demander à l'existence, ou aux autres, de savoir se contenter le plus souvent de ce qui nous échoit, avec cet élan vital qui transfigure habituellement le monde ambiant. Je partage pleinement, à ce sujet, l'opinion de Raphaël Geminiani, ancien cycliste de renom, qui, lorsqu'on l'interrogea à l'occasion de ses 80 ans, répondit : "Quand on n'a pas de problèmes sérieux, on n'a pas d'âge, mais dès que l'on a un problème grave, on a son âge". Alors, essayons de ne pas trop vieillir !

Roger , 69 ans, Saint-Pourcain-sur-Sioule (France)

D'avoir pu faire dans ma vie ce que je voulais faire. D'avoir 4 filles adorables et de partager ma vie avec une femme chaleureuse et pleine de délicatesse.

Roger , 57 ans, Toulon (France)

Étant jeune j'aimais aider les autres dans leurs malheurs. Il m'arrivait souvent d'aller chez quelqu'un pour lui aider à ''tirer'' ses vaches alors qu'il était blessé et avait de la difficulté à le faire. Avec les années, il m'ait arrivé souvent d'être trahi. Des personnes en qui j'avais placé ma confiance, des employés en qui j'avais placé des responsabilités primordiales m'ont quitté et sont allés à la compétition. Cela m'a blessé et j'en ai perdu la foi en l'être humain, foi que je plaçais au-dessus de ma confiance en un gouvernement faux et même au-dessus de ma croyance en un Dieu souvent trop absent. Un jour, bien avant que je ne sois désillusionné face à l'être humain, un ami m'a demandé en quoi je croyais et ma réponse avait été : " je crois en l'être humain et je veux l'aider ". Après toutes les épreuves négatives que j'ai subies, j'ai perdu cette foi. Je ne voyais nulle part trace de l'honorabilité de ma race. Puis, vint un jour où moi-même suis tombé plus bas que idéal. Tout allait mal et j'ai même brisé ce que la vie m'avait offert de plus beau... ma famille, en la quittant. Encore aujourd'hui, je cherche à savoir pourquoi j'ai pu faire une chose pareille. J'ai eu ce qu'il peut être de plus beau. Nous avons 4 enfants et les 4 sont exceptionnels. Ils sont en santé, beaux, polis et ils aiment la vie. Ils sont toujours tous les 4 ensembles et s'aident et... s'aiment. Ils sont heureux et respirent la joie de vivre. Ils grandissent dans la joie de vivre. Leur mère a su les instruire correctement face à l'alcool et à la drogue, deux fléaux de notre époque. Ils ont fait leurs petites expériences avec l'alcool et n'ont jamais essayé les drogues quelles qu'elles soient. Donc, comme je le disais, après ces épreuves, j'ai cessé de croire en l'être humain et lorsqu'on ne croit plus en rien, on ne sait plus qui on est et ce que l'on fait sur cette terre. Cela m'a mené à quitter ma famille. Je vous ferai grâce de tout ce qui s'est passé pour en arriver là mais il est une chose que je tiens à dire c'est que, je ne sais pourquoi, et alors que ma famille est la chose la plus merveilleuse qui m'ait été donnée, j'ai laissé le contact avec ma femme se détériorer. Je n'ai pas travaillé à cultiver mon amour et à le démontrer. Lorsque l'on ne croit plus en rien, plus rien ne nous touche. Avec les années, nous nous sommes éloignés et un beau matin je suis parti. Quelques mois plus tard, je me suis retrouvé dans mon bas fonds. Sans vraiment m'en rendre compte, j'étais à préparer mon départ final. Ma réceptionniste s'en est aperçu pour avoir elle-même déjà connu pareille misère. Elle a alors averti un de mes frères qui, en jouant de ruse, a réussi à me faire dire ce qui se passait et où j'en étais. Il m'a alors suggéré d'aller dans une semaine de "ressourcement'', joli mot pour dire thérapie. Je dois dire que c'est le plus beau cadeau qui m'a été fait, après ma famille. Là, j'ai retrouvé les outils pour me permettre de fonctionner et surtout, de vivre ma vie. Il a fallu plusieurs mois après cette semaine pour que je retrouve la joie de vivre, mais à partir de là, je sais la direction à suivre. Aujourd'hui, 10 mois après cette semaine, je suis heureux. J'ai retrouvé le contact avec moi-m'aime. Je sais maintenant comment m'aimer et surtout j'ai retrouvé la foi en l'être humain car depuis cette semaine, j'ai découvert où se cachent les ''vrais'' êtres humains, ceux pour lesquels je voulais vivre et ceux que je voulais aider et aimer. Bien sûr, je suis encore seul et je ne suis pas retourné avec ma famille mais depuis ce temps, j'ai développé un contact très proche avec mes enfants et un contact plus proche encore avec ma femme, plus proche que ce que je n'avais jamais eu. Je ne pense pas retourner avec elle car notre cheminement nous a fait nous éloigner beaucoup trop, mais maintenant nous nous comprenons. Tout ce que je regrette, c'est de ne pas avoir connu cette thérapie 2 ou 3 ans avant ma séparation. Je pense qu'il y aurait alors eu de grandes chances pour que nous sauvions notre relation. Mais maintenant, je suis heureux car je sais qu'il y a des gens honnêtes et humbles sur cette terre que notre Etre Suprême nous a confié et qu'ils sont beaucoup plus nombreux que ce que je n'ai jamais cru. J'apprends à m'apprécier, je vis seul et je suis heureux. Peut-être qu'un jour je rencontrerais une personne avec qui je pourrais partager le reste de mon existence mais pour le moment ce n'est pas vraiment important car j'ai trouvé la vraie raison pourquoi je vis et cette raison, c'est... moi.

Roger , 46 ans, Sainte-Madeleine-de-la-Rivière-Madeleine (Canada)

Le plus grand plaisir que j'ai eu ce soir, c'est d'avoir vu le charmant petit visage d'Agathe palir quand elle a entendu mon âge car elle me considère comme un jeune homme.

Roger , 73 ans, Grane (France)

Ce qui m'a rendu heureux, ces derniers temps, c'est d'être en week-end, car j'ai eu une semaine de boulot très moyenne, et ce fut un réel bonheur que d'être en week-end.

Roger , 21 ans, Meudon (France)
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