Ce qui m'a rendue heureuse un moment, c'était de voir dans le regard d'un garçon que j'étais son fantasme et qu'il n'en revenait pas de me voir lui faire des obscénités aussi diverses et variées. Le rougissement de sa peau, ses spasmes, et un doux mélange de joie intense, de gêne et de surprise.
Mary-Madeleine , 25 ans, Göteborg (Suède)témoigne