Après avoir galéré tant en amour que professionnellement, j’ai appris que le bonheur n’était pour moi que le plaisir d’offrir. Voir sourire des gens, les pleurs, les joies d’un enfant, le chant des oiseaux, de tous les animaux. Avec beaucoup d’humilité, j’ai appris que nous n’étions pas et que rien n’est éternel dans ce monde. Seuls les souvenirs restent et s’ils sont agréables, et de ce fait, la joie vous porte au-dessus de tout. Vivons ensemble, rions, mangeons etc... Aimons-nous mes frères, l’homme est sensible, n’oublions pas cela, c’est le début d’une réaction. Partageons, marchons tous ensemble, acceptons-nous tels que nous sommes avec défauts et qualités. Voilà aujourd’hui à 31 ans ma conception du bonheur. Cela fait peut-être une ou deux années que je vis et avance dans cette lumière que j’appellerais l’amour de l’autre, et croyez-moi, je suis heureux, beaucoup de gens se plaisent avec moi, d’autres non, mais cela importe peu. Car je ne leur en veux pas et je continuerai à les aimer et à leur venir en aide s’ils le demandaient. Tout homme, femme, enfant est libre et égal dans la vie et dans la mort. L’amour est en nous, et c’est la plus belle des guerres que l’homme devrait déclarer à tous les gens de la planète. Nous sommes maîtres de notre destin : le principal pour nous serait à mon avis que nous allions tous dans la même direction et tous ensemble, surtout. Le bonheur est en nous et à nous de le trouver dans l’autre (et de le donner à l’autre).